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ngungu.populus.ch - 21.03.2005
LE PHÉNOMÈNE WESTERN UNION
Notre Frère Germain NTETANI qui passe pour un des membres actifs de la grande communauté de Mfuma Kongo, vient de nous réserver la copie d’une importante correspondance qu’il vient d’adresser aux animateurs de ce groupe. Il s’agit de son point de vue face au phénomène WESTERN UNION qui passe à l’heure actuelle comme la voix obligée pour la survie des nombreuses familles en RDC.
Sans commentaire de notre part, lisez cette lettre.
Ba mpangi zame ba ne Kongo,
Ce débat sur le phénomène western union que je trouve intéressant dans la mesure où il peut être à même de declencher, si possible, une véritable dynamique en terme de lancer et soutenir le développement de notre terroir et de notre pays. Cependant au lieu de se limiter au constat il faudrait aller au delà de ce que d'aucun appellent encourager les gens à ne rien faire.
Un adage africain dit : me donner du poisson je mangerai un jour mais m'apprendre à pêcher je mangerai chaque jour.
Cette manne qui vient de la diaspora constitue une autre façon d'entretenir la pauvreté. Mais est ce la faute a ceux qui la reçoivent ou les causes sont ailleurs. A ceux qui défendent juste le constat, je me demande si ils étaient au pays, s'ils ne feraient pas autant. Tant mieux.
Comment peut on attendre de quelqu’un à qui on envoie 100, 200 ou même 1000 $ qu'il puisse se muer vers une autonomie quand le contexte global ne peut le permettre. Dans un pays ou près de la moitié du pays est au chômage, ceux qui travaillent sont a plus de la moitie sous payés (avez vous oublié qu'un enseignant par exemple touche a chaque fin de mois moins de 20 $ et le fonctionnaire a autour de 3 $ par mois). Les quelques personnes qui peuvent prétendre vivre décemment sont ceux la qui sont dans les ONG et dans le circuit des organisations onusienne mais ces amis la sont exposes au point qu'en dehors de leurs familles nucléaires, il y a le poids de la famille élargie, de leur communauté locale et de leur quartier qui s'ajoute a tous ce qu'ils doivent couvrir comme charge. Mais aussi il y a un proverbe sénégalais qui dit ; dans un village s'il y a un riche et neuf pauvres, le riche deviendra le dixième pauvre. Allez y comprendre quelque chose.
Qui peut a ce jour dire haut et fort qu'il a un frère qui a de l'épargne dans ce pays la?
Investir signifie qu'on a eu a épargner, comment cela peut il être possible quand tout le monde est dans la survie et l'on ne sait pas de quoi sera fait demain. L'incertitude est devenue le lot de nos frères et soeurs, parents restes au pays. Ceux qui tiennent encore sont des gens à féliciter. Car je ne sais pas depuis combien de temps chacun de nous a quitter le pays, mais je vous assure que a Kimbanseke, on enterre presque plus, ou alors on enterre sur d'autres corps, maintenant ce sont des cimetières de l'aéroport, de Benseke qui se remplissent a une vitesse incroyable. J'ai vu sous mes yeux le début des cimetières de Benseke mais au moment où j'ai quitte le pays, on approchait déjà vers les nouveaux quartiers environnants pourtant à l'époque située très loin de celui ci.
On pourrait me dire qu'il y a des commerçants qui se débrouillent mais, chers frères et soeurs, vous étés entrain d'oublier que dans un environnement économique ou le circuit bancaire ne fonctionne pas et que le crédit est une matière non vue pour plus de 3/4 de la population il est difficile d'asseoir une affaire durable, sinon que des actions de sauvette dont le risque de fois peuvent en un matin vous remettre au point zéro, heureusement qu'on a pas la mentalité japonaise, il y aurait eu plus de suicide qu'on ne peut l'imaginer.
Un tel environnement introduit l'économie de réduction de portions. Si nous avons des bons souvenirs il y a quelques années chaque famille pouvait s'acheter une boite de lait mais présentement c'est un sachet ou deux de lait cowbell qu'on achète chaque matin pour ceux qui le peuvent. Et d'ailleurs beaucoup de familles ont depuis longtemps supprimé le petit déjeuner dans leur vie.
Combien on est ahuri quand on arrive au marche et qu'on voit que même la poussière des poissons sales est vendue. Bantu bena sumba mpasi mu tula fi nsunga fia munsambu mu ma dia.
Le poulet est vendu en petites pièces, le savon et j'en passe. Est ce que réellement les affaires marchent? Les libanais qui remplissent des magasins avec des tissus se décolorant aux rayons solaires viennent en culotte et 6 mois après ils roulent en Mercedes et manipulant un général ou un colonel au coup des billets de banque pour se faire intouchables. Ils sont dans des commerces souterrains et sont avec l'argent gagné au Congo entrain de reconstruire leur pays détruit plusieurs années par la guerre. Leurs étalages sont des paravents, en réalité ils sont dans autre chose.
L'origine du mot "ngundeur" ce sont des gens qui se débrouillaient aller acheter des marchandises dans des villages lointains et vendre dans les centres urbains. Mais qui le font encore aujourd'hui car les routes de desserte agricole sont totalement défoncées et que ceux qui acceptent d'y aller c'est au péril de leur vie.
Il y a Mbuta Ngonde qui a évoque l'aspect de taxe, je ne voudrai pas y revenir. Mais juste un petit commentaire par rapport a cela. L'administration de notre pays est à un niveau extrêmement faible. Les taxes ne sont pas mauvaises comme Edgar l'a souligne par ce que ici en occident on voit ce que l'administration fait de l'argent perçu des taxes.
Quand j'étais encore au pays, j'ai assiste a une situation pour la taxe de parking de ma voiture. Le parking attendant repertorier des belles voitures dont l'argent va directement chez le bourgmestre et les "mambuila" c'est pour les autres. Même pas pour la caisse de la commune.
Ma voiture était une Mercedes et je vous assure que l'émissaire du bourgmestre pouvait faire quatre tours pour te rappeler que ce dernier veut partir.
Pour revenir a cette observation des Kongo de la diaspora, il sied de vous rappeler que n'eut été cette queue que les gens vont faire a western union, Kpm, Kin service il y aurait déjà une implosion sans nom dans ce pays. Peut être que la prophétie de Litho se serait déjà réalise. Bo ko liana.
Mes frères scruter votre environnement et dites nous vous avez combien des gabonais, des équato - guinéens, des sud-africains ?
Les pays qui sont mal organises mal gérés rentrent dans cet engrenage ou la fuite des cerveau est importante. Combien des gens sont venues ici pour études et ne sont plus rentrés? Je ne voudrai pas faire un procès de qui que ce soit.
Continuer a envoyer des miettes c'est une étape de secours d'urgence qui est inévitable car a la lumière de ce contexte qui n'est pas loin de la loi de sélection naturelle, il est difficile de tenir le bon bout de manière durable, sinon mort d'homme va s'en suivre, si c'en est pas déjà le cas. La survie du plus apte.
Pour revenir a nous qui sommes de la diaspora combien parmi nous s'organisent comme les ouest africains. Nous avons excelle dans des actions qui font que nous sommes scotches et continuons a vivre le ghetto même en europe. Bcq des qu'il a le soit disant papier commencent a vivre sur le dos des "benefit", "social", "asedic". Cet argent pour lequel nous croyons encourager la paresse au pays de fois nous jouons aussi comme ceux restes au pays. Il y a des exceptions vous allez me dire mais c'est n'est qu'une confirmation de la règle. Il y a un ami qui m'a dit que dans vingt ans il y aura des phaseurs congolais en europe. Pas des enfants de rue mais de papa et mamans de rue. Je ne sais pas si on les appellera aussi des schegues.
La mentalité zaïroise est notre essence vitale, pouvez vous comprendre quelqu'un qui va s'acheter une paire de chaussure de 3500 euros ou un pantalon de 1200 euros et pendant qu'il a pense a sa mère, son père, son frère, ou sa soeur avec 100 $ commence a débiter des discours d'incitation au travail dans un environnement qui ne n'y est pas propice.
Pour terminer chers frères et soeurs, quittons ce terrain de Kizairois, champion en critiques en usant le terme comme ; il fallait, il aurait fallu.
Voyons comment nous pouvons nous constituer en une force pour le développement de notre quartier, de notre village, de notre commune, de notre pays.
Tant que la politique sera malade, l'administration faible, l'économie paralysée, le social en pâtira toujours et nous serons toujours à la case de départ.
Beaucoup appliquent le proverbe de muna vumu kia yaya mpasi buna mono ya ki vayikila. Il y a lieu que les membres de la diaspora se mobilisent en tant que société civile et voir comment collaborer avec la vraie société civile laborieuse du pays pour qu'il y ait du changement de fond. Sinon la fuite de cerveau va continuer et peut être dans 50 ans le pays appartiendra a d'autres peuples a la quête de terre, je lorgne a cote de ce voisin.
Combien parmi nous ont un projet clair de retour au pays ? Et pourtant nous avons un pays dont les potentialités sont énormes et une fois valorisées peuvent nous épargner l'humiliation dont nous sommes objet en Europe, en Amerique et ailleurs.
Imaginons si je prends le cas de ma petite ville natale Mbanza Ngungu, 1000 ngunguois se décident de construire chacun une belle maison a Mbanza Ngungu, chacun s'engage a monter une affaire et un groupe ou plus de 100 a 200 se mettent ensemble pour investir ou relancer les industries, les commerces abandonnes a l'époque des portugais. Quel effet cela aura, combien des personnes vont trouver du boulot et quel effet dans les mentalités ?
Mais tout ça n'est possible que dans la mesure ou l'environnement global est favorable en terme de marche, de sécurité, de facilites administratives, des facilites de dédouanement, de communication, d'accès etc.
Pour qu'il soit favorable cet environnement, il faudrait que nous contribuions à son changement au lieu de se cantonner chacun dans son coin et attendre que les choses change de manière spontanée.
Mes excuses si j'ai eu à blesser des gens et des susceptibilités. Lunsila nlemvo.
La réalité de notre pays et de nos concitoyens et surtout la légerete avec laquelle nous traitons les affaires de notre pays sont de fois révoltante.
Weno mpangi
Mfumu a Nkumba Kongo
Muana kingoyo
Ntekolo a Mbamba kalunga.
Jean Germain NTETANI BATUVUIDI YIKULUADIO
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ngungu.populus.ch - 18.03.2005
Lu pour Vous dans le journal Le PHARE
Le Chemin de fer Matadi-Kinshasa totalise 107 ans !
« Sans un chemin de fer de la Côte jusqu’au Pool (Ndlr Malebo), le Congo ne vaut pas un penny ». C’est en ces termes le célèbre journaliste, explorateur britannique, naturalisé américain, Henry Morton Stanley; s’exclama quant à l’oeuvre gigantesque à entreprendre dans la mise en valeur du pool. Pour atteindre Nkuna, nom teke du Stanley-Pool, 32 rapides barraient le cours du fleuve et en interdisaient l’accès par voie d’eau.
Le Stanley-Pool se présentait comme un lac de 30 km de longueur sur 25 km de largeur, divisée en 2 parties inégales par la grande île Mbamu. En aval, il est limité par l’étranglement rocheux d’une largeur de 1.650 m entre le Plateau du Bas-Congo, près de Brazzaville, et la pointe de Kamina, à Léo(Kin). L’explorateur dut se frayer un chemin au travers d’une nature vierge, presqu’impénétrable, faite des rocs, des savanes desséchées et torrides succédant à d’épaisses forêts humides sur 400 Km, du pays où le soleil de feu transforme l’atmosphère en étuve suffocante.
Les mouches tsé-tsé, les moustiques, les maringouins ne laissaient t aucun répit aux intrus téméraires. La maladie, la faim et la fatigue continuaient à faire un carnage parmi l’escorte. En employant le trinitrotoluène (T.NT.), principe actif de la dynamite pour s’ouvrir un passage à travers les blocs des rochers granitiques, les autochtones surnommèrent Stanley "Bula Matadi", le casseur des rocs.
C’est le 16 mars 1898, à 10h30’, 9 ans après les travaux de construction de ce chemin de fer Matadi- à Kinshasa, que le train inaugural, conduit par l’lr. Nicotas Cito (Camp Cito, nom donné autrefois à ce qui est devenu quartier Kauka, à Kinshasa), arriva à Kinshasa, alors Léopoldville, salué par 21 coups de canon et les sirènes des bateaux sur le fleuve. Date importante dans l’histoire du Congo et de sa future capitale, puisque le rail met le point final à la route des “Caravanes” et au portage.
Durant sa construction, 132 et 1800 Africains et Asiatiques venus entre autres, du Ghana, du Laos, de Chine, de Monaco, de l’Indonésie... périrent afin que le Pool, siège du Royaume des Makoko, soit valorisé. C’est en 1935, année de la création de l’Office des Transports du Congo (Otraco) qui deviendra plus tard avec le recours à l’authenticité prône parlé régime du 24 Novembre 1965, l’Office National des Transports (Onatra), que l’on confiera la gestion de ce chemin de fer.
C’est le 20 avril 2005 prochain, jour de la fête des Chemineaux, que l’Onatra célébrera son 70ème anniversaire d’existence et, par ricochet de gestion aussi de ce chemin de fer qui relie le Pool, parsemé des Malebo, à l’Océan Atlantique. Quel est aujourd’hui l’état de lieux de ce chemin de fer, l’une des premières voies ferroviaires sur le continent noir?
Les renseignements nous fournis sur place à la gare centrale par les responsables de la Direction des Transports du département les Chemins de fer indiquent que les difficultés auxquelles est confronté le service transports sont liées à la vétusté des rails, ce qui cause parfois des déraillements des locomotives à la suite des pluies importantes, surtout sur le tronçon Mueke-Kiazi, au-delà de la cité de Kisantu dans la province du Bas-Congo.
Le Gouvernement, à travers le ministère des Transports et Communications, est interpellé pour améliorer et moderniser le Chemin de fer au regard d’une part du rôle combien trop importante que devra jouer le Congo, notre pays, dans le cadre du nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique, et d’autre part au regard de sa position géostatique au centre de l’Afrique reliant l’Ouest à l’Est et le Nord au Sud, position qui se situe au carrefour des intérêts économiques que présentent les sous-régions africaines.
| Le Phare/Joachim Bongeye W’Esongola Matondo
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ngungu.populus.ch - 24.02.2005
EGLISE ARCHE DE VIE : Alphonse Boly Kamalandua Zayobi ordonné Pasteur
Le pasteur Boly pose avec sa nouvelle tenue des cérémonies
EGLISE ARCHE DE VIE : Alphonse Boly Kamalandua Zayobi ordonné Pasteur
Le dimanche 13 février 2005, un digne fils de Mbanza Ngungu, en l’occurrence notre frère et ami Alphonse Boly Kamalandua Zayobi a été ordonné Pasteur. Cette cérémonie s’était déroulée dans la salle polyvalente du Studio David en présence d’une foule nombreuse constituée des fidèles de l’Eglise Arche de Vie, ARSOVIE en abrégé. La communauté ngungouise de Kinshasa a été valablement représentée à cette cérémonie avec la présence fort remarquée de Messieurs Kiakwama Kia Kiziki, Pierre Mabeluanga, André Mvindu Makani, Léon Kintaudi, Hubert Betamona, Franklin Kibuabua, Ntona Lulendo, Biesse Bia Nza et évidemment son inséparable ami Ndebile. D’ailleurs, c’est un autre ngunguois répondant au nom de Alphonse Nzuwa Nsilu, qui est l’un des fidèles de cette communauté religieuse qu’est revenu l’honneur d’assurer la modération de cette célébration.
Pour votre information, cette cérémonie haute en couleurs a été présidée par le Pasteur André MUBOYAYI qui était entouré de ces confrères Gaston LUNDU, Léopold MBADU, Jean Baptiste NGAMABELA... C’est cette équipe qui a officiée le culte spécial d’ordination aux charges pastorales de celui qu’il conviendra d’appeler désormais Pasteur Boly.
Signalons en passant que la Sœur Lucie Matondo et le couple BULOBA ont agrémenté cette manifestation avec leurs chansons dédiées aux louanges et à l’adoration à Jésus, notre Christ et notre Seigneur. Quant aux Frères Assin NKIAMBI et Léon KINTAUDI, ils ont eu le privilège de faire chacun un témoignage élogieux sur la vie de ce serviteur de Dieu qui a choisi le jour d’anniversaire de naissance de Marthe, son épouse et sa compagne de vie.
Nous ne sommes pas surpris de cette élévation de notre frère Boly à ces nouvelles charges pastorales. Né d’une famille chrétienne et malgré les turbulences de la vie qui ont caractérisé les amis avec lesquels il a grandi dans les rues de la Cité de Mbanza Ngungu, celui-ci a toujours pu garder ces deux pieds par terre. Après ces études universitaires en France et son retour précipité au pays, il a toujours fait preuve de modestie et a gardé sa simplicité légendaire dans le cercle restreint de ces amis et dans son milieu professionnel où il jouit d’une grande estime de ces collègues. Sa réussite ne l’a pas grisé. Au contraire, c’est dans la prière et une vie consacré entièrement au Christ qu’il tire la force qui l’a toujours permis de faire face aux multiples vicissitudes de la vie inhérente à toute existence humaine.
Kimbanguiste par la volonté de ses parents, Boly s'est tracé librement et en toute conscience sa voie. C’est au sein de l’Eglise Arche de la Vie qu’il a raffermit sa foi et qu’il est devenu un grand serviteur de Dieu. Sa consécration est la conséquence logique de cette vie qu’il mène avec beaucoup de courage et avec l’appui de son inséparable épouse Marthe Lembe Mietete, qui passe pour sa première conseillère.
Au-delà de l’aspect spirituel que rêvet cet événement, nous nous faisons l’honneur d’interpeller nos frères en leur signifiant que toute réussite professionnelle ou matérielle ne doit pas nous faire perdre la tête et nous détourner du chemin de la vérité. Le Pasteur Boly qui est aujourd’hui un cadre de Direction à la COBIL, ex. Mobil Oil Congo est le prototype de ces pasteurs qui mérite d’être cité en exemple. Il appartient à cette race de ces serviteurs de Dieu qui savent lier l’utile à l’agréable. Sala ye Sambila, voilà les deux ingrédients nécessaires pour la vie d’un homme et qui feront toujours notre force, chaque fois que nous serions confrontés aux multiples problèmes de notre vie.
A l’issue de cette cérémonie, un cocktail a été offert aux invités.
Coordonnées du Pasteur Boly K. ZAYOBI
Email : bolyzayobi@hotmail.com
Tel : 243 9930265 - 243 819933302
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ngungu.populus.ch – le 23.02.2005
LA TRADITIONNELLE FETE DE RETROUVAILLES DE LA NGUNGUOISE A VECU !!!
La traditionnelle fête de retrouvailles que l’Asbl LA NGUNGUOISE organise depuis sa création en début de chaque année a vécu. Cette fête qui a connu une forte mobilisation et un grand succès a eu lieu le dimanche 20 février 2005.
Contrairement aux fêtes antérieures qui se tenaient au siège social de l’association situé au dancing Bar Le Loriot à Matonge, c’est dans le magnifique cadre de LA MARMITTE, ex.LOLO LA CREVETTE à Binza Ma Campagne que ces réjouissances ont eu lieu.
Tous les Membres d’honneurs de ce groupe à quelques exceptions près ont rehaussé de leur présence cette fête familiale. Il s’agit de : Kinkela Mpitu, Kembukusua Ne Nlaza, Kisombe Kiaku Muisi, Ngina ye Vuvu, Nkuknku Nkumaf, André Nkunku, Maman Mienze, Bavuidi Babingi, Pierre et Hilaire Mabeluanga, Dr.Kamba, Siluvangi, Mvindu Makani, Faustin Nguizani et du Prof Kinzonzi. Certains étaient accompagnés de leurs épouses.
Signalons toutefois l’absence fort remarquée de Gilbert Kiakwama. Parmi les autres absents, le Dr Lusakueno, Papa Nzolantima et Tuluka Yaya (tous en voyage) et Gauthier Diatezulua, éprouvé se sont excusés. Quoique absent,le Vice Gouverneur du Bas Congo Déo Nkusu s’est fait représenté.
L’autre particularité de cette fête, c’est l’expérience qui a tenté pour mobiliser les fonds devant financer le budget de l’exercice 2005. Estimé à 5000 Usd, 2.100 Usd ont pu être collectés sur le champ et d’autres participants ont souscrits pour un montant de 1.500 Usd. Ce qui est une première dans les annales de ce groupe.
Pour revenir à la cérémonie proprement dite, elle a débuté par une prière dite par le pasteur Boly Zayobi, suivi du mot de bienvenu prononcé par le Président du Comité Directeur suivi de l’échange des vœux entre les membres.
Après le dîner, les dirigeants de LA NGUNGUOISE ont présenté la nouvelle vision de leur association dont les activités sont essentiellement centrées sur les actions de développement de la Cité de Mbanza Ngungu. Celle-ci fut précédée par la présentation en power point des images illustrant quelques réalisations antérieures du groupe.
Comme LA NGUNGUOISE fonctionne avec les cotisations de ces membres et les contributions de ces Membres d’honneurs, un appel a été lancé à tous les ngunguois de la diaspora et à tous ceux qui s’intéressent à ce groupe pour apporter leurs diverses contributions.
L’un des temps forts de cette fête fut la partie dansante de cette soirée qui fut agrémentée par l’orchestre The Best. Tous les Bambuta ont à cette occasion rivalisé d’ardeur et dansé jusque tard dans la nuit. Débutée à 16 heures, cette soirée s’est poursuivie jusqu’à 23heures.
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ngungu.populus.ch – le 20.02.2005
Bientôt des Monuments seront érigés à Matadi
Cette maison avait servi de Tribunal qui avait condamné à mort, Tata Simon KIMBANGU
Nous venons d’apprendre que le Ministre de la Culture et des Arts, Monsieur Chrsitophe Muzungu a séjourné à Matadi où il vient de lancer un projet intitulé "Mémorial de Matadi".
Il s’agit en fait d’un projet dont l’objectif serait de réhabiliter les mémoires des dignes fils et filles de la province du Bas Congo, considérés à juste titre comme des vrais héros pour notre région. Sont concernés par cette décision, le Roi Nzinga Nkuvu de l’ancien royaume du Congo, Joseph Kasa Vubu, le premier président de la République Démocratique du Congo, la prophètesse Kimpa Vita et naturellement Tata Simon Kimbangu, dont la renommée à traversé toutes les frontières.
Me Muzungu qui tient à marquer son passage à la tête du Ministère de la Culture veut redorer l’image de notre pays avec le réaménagement de tous les Sites historiques qui faisaient sa beauté à l'époque coloniale, en procédant notamment à la réhabilitation des certains monuments coloniaux, dont celui du Roi Léopold II qui a été réinstallé à la Place de la Gare Centrale de Kinshasa.
Au moment où une controverse semble naître de cette initiative, le ministre vient de faire preuve de beaucoup de maturité et de courage en se retournant envers les fils de notre pays qui ont mérité de notre patrie. C'est dans ce cadre qu'il vient de retenir la province du Bas Congo comme province pilote pour tenter cette expérience. Cette démarche pourra être étendue aux autres provinces de la République.
Pour revenir à notre province du Bas Congo et profitant des festivités marquant le Centenaire de la ville de Mbanza Ngungu, nous aurions voulu que les autorités tant gouvernementales que provinciales aident les kimbanguistes à réhabiliter la fameuse maison qui avait servi de tribunal qui avait condamné Tata Simon Kimbangu à la peine de mort. Cette maison restera à jamais comme un haut lieu de culture et pourquoi pas touristique. Les responsables de cette église peuvent valoriser cette place en y érigeant un monument à la gloire de cet illustre personnage que fut Kimbangu et pourquoi pas de construire au même endroit le musée de l’histoire du kimbanguisme.
ngungu.populus.ch – le 17.02.2005
17 février 1966 – 17 février 2005
SPECIAL ANNIVERSAIRE : LE FOOTBALL CLUB GWAGWA DE MBANZA NGUNGU TOTALISE 39 ANNEES D’EXISTENCE.
Le football, sport-roi en République Démocratique du Congo occupe une place de choix dans la vie de tous les jours des nombreux sportifs éparpillés dans notre pays.
Mbanza Ngungu, Chef Lieu du District des Cataractes qui a toujours été considéré comme une cité des sportifs commémore aujourd’hui le trentième anniversaire de l’équipe la plus ancienne équipe encore en activité dans cette localité.
Le commun des mortels se souviendra toujours du passé glorieux des légendaires Diables Rouges qui ont donné au pays le célèbre Raoul Kidumu, l'avant centre de soutien de Daring Matiti Mabe de Kinshasa et des Léopards du Zaïre dont il fut la capitaine au Mundial organisé en 1974 en Allemagne. Les forgerons de l'OTRACO n'étaient pas seuls à THysville. D’autres formations prestigieuses comme le FC Amical, Daring, Jeune Dynamic, Lorraine ou Castors qui ont fait la fierté de cette cité ont aussi disparu de la circulation. Aujourd’hui, Mbanza Ngungu vibre au rythme du Football Club GWAGWA et de l'Association Sportive BILANGA MATEBO, les deux ennemis jurés dont l’histoire et le parcours sont intimement liés.
L’honneur nous échoit aujourd’hui de vous présenter brièvement le FC GWAGWA dont le récit quelque peu rocambolesque ressemble à un conte des fées.
Si les joueurs Ntualani alias Du Sang, Jojo Mandiki et Kondua Samson dit Major sont les vrais géniteurs de cette équipe, c’est grâce à un de leurs aînés répondant au nom de KOKE Miezi, plus connu à Mbanza Ngungu sous le pseudonyme de Kocsis que ce club va acquérir ces lettres de noblesse. D’ailleurs, la date du 16 février 1996, retenue à titre symbolique comme celle de sa fondation ou plutôt de sa renaissance est celle de l’arrivée et de la prise en charge de cette équipe par ce gars qui a marqué toute une époque à la tête de ce club. Dans cette loude entreprise, Kocsis fut soutenu par Léon Kintaudi, son frère et ami de tous les jours, Lumingu Jelem et Ya Papa V-W, le grand frère de Munsundi Franck.
Comme toutes les équipes d’âges de cette époque, le FC Jeune Gwagwa dont l’âge des joueurs variait entre 12 à 15 ans évoluait avec des ballons mousses ou en caoutchouc. Kocsis qui était lui-même un des coriaces stoppeurs du FC Castors était à la fois le président et l’entraîneur de son équipe. Grâce au succès et à la renommée de ce club, d'autres formations vont naitre dans sob sillage. Les plus connus furent Mikado, Cheminot, Immodis, Nomades, Black Stars, Carnassier, Foudre et Santos, Dravering et Union Matata. C'est en toute logique que GWAGWA reste à ce jour la fille ainée des équipes de football dans le District des Cataractes.
Le mois d’octobre de cette année fut le tournant de cette aventure avec l’arrivée surprise du Sporting Club ISKO de Monsieur Isaac KOKO KIZUBANATA qui imposera le ballon réglementaire aux équipes de la capitale du froid. Au delà du résultat très flatteur enregistré par les locaux qui vaient réussi à tenir les kionois en échec, les responsables du sport à Mbanza Ngungu ont à dater de ce jour commencer à s'intéresser au football des jeunes.
Suite à l'engouement provoqué par le succès sans cesse grandissant de son club dans les milieux des amoureux du ballon rond, Kocsis qui n'arrivait plus à supporter seul le poids et la charge financière inhérente au fonctionnement d’une équipe, avec le concours de Papa Noël qui était locataire dans la parcelle familiale des Wa Nsiesie sur l'avenue ex.Astrid, va constituer au début de l’année 1967 le tout premier comité sportif digne de ce nom qui a présidé aux destinées de ce club. C'est ainsi qu'on retrouvera Papa Nsumbu Django à la présidence Jeune Gwagwa et qui sera secondé par d’autres sportifs et non des moindres. Citons notament Papa Basele, Papa Nlandu Ma Vie, Papa Nkunku Salomon, Mbanzani Domingos, Yalala Félix, Masamuna Vicky, Lukombo Yaba, Dingani Ricky et Teka Ranos.
Un matadien de souche va également se faire remarquer dans le staff dirigeant de ce club, grâce à son munu kutuba et sa verve oratoire. Il va devenir l’un des propagandistes et un inconditionnel de cette équipe qu’il a servi et aimé jusqu’à sa mort. Il s’agit de Etienne Kabuiku Mayemba alias Papa Lex.
La célébrité n’attend point le nombre d’années. Les sociétaires de ce club vont devenir très célèbres à travers cette cité et sans peur d’être contredit ces joueurs en herbes ont réussi à voler la vedette aux têtes couronnées de cette localité.
En 1970, Jeune GWAGWA après avoir gravi tous les échelons au Groupement de Football des Jeunes, se retrouvera ensemble avec son compagnon d’infortune qu’est Bilanga Matebo, en première division du championnat organisé par l’AFTHYS.
A la suite d’un arrangement particulier entre d'une part, les dirigeants du FC Castors, dont les intérêts étaient défendus par son Secrétaire Alphonse Kiangala Cavalheiro et d'autre part Kocsis, en sa double qualité de joueur de Castors et membre Co-Fondateur de Jeune Gwagwa, il fut décidé une fusion des deux équipes. En effet, menacé de disparition, le FC Castors dont la plupart de ces joueurs qui étaient des élèves venaient de terminer leurs études secondaires n’avait pas d’autre choix, que celui de se plier aux caprices des ténors de Jeune Gwagwa qui avaient à leur actif un capital humain très impressionnant et qui était envié par d'autres clubs, plus particulièrement le FC Amical. Coïncidant avec l'opération de changement des appelations des équipes à connotation étrangère, c'est sans surprise que le nom de GWAGWA fut retenu pour le bonheur des nombreux supporters et sympathisants de ces deux formations.
Trente neuf années de vie pour une équipe de football n’est pas peu de choses, car plusieurs dirigeants et joueurs se sont succédés à la tête de ce club et il nous sera difficile de les citer tous. Plusieurs d’entre eux ne sont plus de ce monde et nous ont précédés dans l’au-delà. C’est à eux que nous pensons plus particulièrement aujourd’hui, car tout au long de leur existence, ils ont réussi à nous procurer d’intenses moments de joie et de bonheur. Les noms des joueurs aussi talentueux tels que Kinfunia Marcel alias Modi, l’un des plus grands monuments de cette formation, Lolo, Wanani Medium, Ntualani Du Sang, Diakanua Haidé, Sitting, Luntala Damien, Mandiangu Apaka, Zodi Zorrino, etc… ou des dirigeants comme Papa Noël, Dekoke Nsimba, Mavuangi, Kuka Fantôme, Nsau Nsiona, Kuzoma Magie, Papa Lex ne s’effaceront pas de sitôt de la mémoire collective.
Le FC GWAGWA : UNE VERITABLE ECOLE DE FOOTBALL
De la première promotion des joueurs de Jeune Gwagwa dont l’ossature de base était composée Du Sang, Mandiki, Major, Nekadio dit Emmany Bill, Haïdé, Lunfuankenda Alphaco, Basille, Kapita Bicorro, Camille Makengo et autres Sitting auxquels s’étaient joints Boulba, Gento, Alexis, Sekele et Basi, Mbuta Fe, Petit Raoul, Jhon, Sasabi Likimba, Nkongo Serenade, Damar, Modi, Massampu Fanfan, Ngoma dit Mulele, Lupele, Enyuka Tex et Paul Bukaka, en passant par les générations tampons de Jean Marie Kayembe, Jean Ngala, Tisserand, Nzube, Waziro, Malunga Shérif, Mukendi, Nkebolo, Lolo, Kankonde, Mandiangu, Coco, Houf, les frères Mantuila, Pablo, Simoni, etc…, le FC Gwagwa peut être considéré comme une école de football. C’est une véritable pépinière des équipes kinoises.
En trente neuf années d’existence, quelques uns de ces athlètes ont eu le bonheur de terminer leur carrière au plus haut niveau à Kinshasa.
Citons quelques-uns d’entre eux :
AS Dragons : 1.Diakanua, 2. Mavuva et 3. Kayembe
DCMP : 4. Paul Bukaka et 5. Mandiangu Tostao
AS Vclub : 6. Nkebolo et 7. Luntala
AC MANAYA : 8. Mukendi Kabongo et 9. Kalala Kabundi
AC Vijana : 10. Emile Lunfuankenda et 11. Ngoma Mulele
AC Matonge : 12. Massampu Fanfan
US Kintambo : 13. Simoni
etc…
Honneur aux membres de cette grande famille sportive qui fête cette année trente neuf années d’activités ininterrompues. Que tous ceux qui de près ou de loin ont assuré la pérennité de ce club trouvent ici nos félicitations les plus sincères.
LISTE NON EXHAUSTIVE DES ANCIENS DIRIGEANTS DE CETTE EQUIPE
Koke Miezi Kocsis, Léon Kintaudi, Lumingu Jelem, V-W, Tekasala Caïen, Mbuta Leki Mavos, Nsumbu Django, Papa Noël, Basele, Nkunku Salomon, Nlandu Ma Vie, Felix Yalala, Vicky Masamuna, Mbanzani Domingos, Mbanzani Michel Santabara, Lukombo Yaba, Kuka Fantôme, Alphonse Cavos, Mukandila, Luntadila Kidima, Muya Kambala, Mavuangi, Kiaku, Sansua Samy, Dekoke Nsimba, Sefu, Mathis, Mazaza, Nsau Nsiona, Luyindamo Wete Alias Papa Yorgho , Mhass Massengo, Musambote Morgen, Franck Munsundi, Buetusola Mathurin, Chic Choc, Kiala Elvis, Sadou, Germain Ntetani, Pablo, Michel, Nsiku Thomas et tant d’autres que nous avons omis involontairement.
Le comité sportif qui préside actuellement aux destinées de cette équipe se compose comme suit :
Tuteurs : Dr Léon KINTAUDI
Morgen MUSAMBOTE
Président : NSIKU MVUANGA Thomas
1er Vice-président : KITUBA MAKUNZA
2ème Vice-président : KABANGU Peter
Secrétaire : LUNZAYILA Roger HIRO
Trésorier : SILULUKI MANTETE Pablo
Conseillers : - NGANGA MABIDI Aaron
- LUKUBU
- MAYIMONA
Intendant : Maître NSUMBU Remy
Pour Terminer, nous souhaitons à tous les joueurs, dirigeants, supporters et nombreux sympathisants de ce club, un bon anniversaire.
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ngungu.populus.ch – le 08.02.2005
NOUVELLES SPORTIVES EN BREF
COUPES AFRICAINES DE CLUBS
En Champion’s League : DCMP qualifié – MAZEMBE éliminé
Les équipes congolaises engagées en Champion’s League ont connu ce week-end des fortunes diverses. Après sa brillante victoire arrachée au match aller disputé au Stade des Martyrs de Kinshasa sur le score de 3 buts à 0, le Daring Club Motema Pembe a perdu le match retour qui l’a mis aux prises à Kigali, au Rayon Club du Rwanda sur le score de 2 buts à 0. Malgré cette défaite, au décompte final, les protégés de Tatu Hilaire Lumbaie se sont qualifiés pour le tour suivant.
Quant aux Corbeaux de L’Shi, ils ont aussi perdu face à l'Asfa Yennega du Burkina Faso au cours de leur rencontre qui s'est joué à Ouagadougou sur le score de 2 buts à 0. Etant donné que le match aller joué dans sson fief s’était soldé sur le même score, l'équipe du président Moïse Katumbi Chapwe a été obligée de recourir aux tirs au buts pour se départager aavec son adversaire. Moins inspirés, nos ambassadeurs se sont fait débarqués pour la deuxième fois consécutive aux préliminaires de cette coupe. Ce qui est vraiment dommage pour cette prestigieuse équipe sur laquelle reposait les espoirs des férus du ballon rond.
Les regards des sportifs congolais seront désormais tournés vers les champions de la Linafoot qui doivent redoubler leurs efforts pour espérer faire long feu dans cette compétition et obtenir leur qualification à la phase finale qui procure aux équipes qualifiés des retombées financières assez positives.
COUPE DE LA CAF : Promenade de santé du SC CILU de Lukala à Abidjan
Le SC Cilu de Lukala, qui est le dernier Vainqueur de la Coupe du Congo vient de confirmer toutes les belles choses qu’on raconte sur la santé de cette équipe. Ce club vient d’effectuer une véritable promenade de santé à Abidjan en Côte d’Ivoire. Après sa retentissante victoire au match aller sur le score de 5 buts à 0, les poulains de l’entraîneur Lokose ont une fois de plus marché sur les ivoiriens du FC BOUAFFLE qu’ils viennent de battre at home sur le score significatif de 3 buts à brosse.
Bravo aux Cimentiers de Lukala qui pour leur deuxième participation à cette coupe de la CAF, font preuve d’une belle générosité offensive et promettent de porter très loin, l’étendrad du football de la province du Bas Congo.
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MBANZA NGUNGU : LANCEMENT OFFICIEL DE LA FETE DU CENTENAIRE
Le coup d’envoi officiel des festivités marquant le centenaire de la cité de Mbanza Ngungu sera donné ce samedi 12 février 2005. Cette cérémonie sera synchronisée avec la clôture de la Conférence Economique sur le Bas-Congo qui débute ce jeudi 10/20/2005 au Chef Lieu du District des Cataractes.
Plus de 300 personnes issus des milieux socio professionnels divers et en provenance de Matadi et des trois districts de notre province, auxquels se sont joints une importante délégation des NE KONGO de Kinshasa, vont se retrouver autour de l'Exécutif provincial pour se pencher sur les stratégies de la réduction de la pauvreté dans notre province, mais aussi pour définir le partenariat pouvant régir notre Gouvernorat avec le secteur privé. Nous ne pouvons que féliciter les initiateurs de cette rencontre assez louable et nous vous promettons de revenir avec beaucoup plus de détails sur les résultats de ces accises.
Quant à la fête du centenaire qqui fait l'objet de notre préoccupation dans cet article, disons simplement qu'un Comité d'Organisation dirigé par Monsieur Mbedi wa Kitembedi, Commissaire de District des Cataractes est à pied d'oeuvre depuis l'année dernière. Placé sous le Haut Patronage de Son Excellence Monsieur le Gouverneur de la province du Bas Congo, la fête du Centenaire connaîtra son apothéose au mois d’août de cette année avec des grandioses manifestations qui seront organisées durant la saison séche, comme si on veut rappeler aux participants le climat qui caractérise cette ville et qui fut parmi les raisons qui avait poussé Monsieur Albert Thys à retenir ce coin pour y ériger l'importante station des chemins de fers qui porta à ces débuts le nom de Nsona Ngongo.
Dores et déjà, nous prenons l’engagement de publier régulièrement toutes les informations en rapport avec cette fête des ngunguois. Nos colonnes restent ouvertes à tous ceux qui veulent contribuer pour la réussite de cet évènement.
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ngungu.populus.ch – le 08.02.2005
En match amical disputé à Rouen en France , la RDC et la Côte d’Ivoire se séparent dos à dos
Ce mardi, le 8 février 2005, l’équipe nationale de la RDC conduite par son entraîneur Claude Le Roy a été aux prises avec la formation correspondante de la Côte d’Ivoire. A l’issue de cette rencontre fortement disputée, les deux équipes se sont séparées sur le score de parité de 2 buts partout. L’avant centre Dindane a été le premier à ouvrir le score pour les Eléphants de la Côte d’Ivoire. Makondele a égalisé d’un tir lointain décroché à plus de trente mètres du but gardé par Gnanhouan Gérard, gardien du FC Sochaux en France.
Le même scénario s’est reproduit dans les ultimes minutes de la seconde mi temps. Bonaventure Kalou d’abord à la 88ème minute puis Shabani Nonda dans les minutes de prolongation ont tous les deux marqués sur penalty pour le compte de leurs équipes respectives.
Cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre des préparatifs des Lions aux prochaines échéances des compétitions africaines qualificatives à la Coupe du Monde et à la Coupe d’Afrique des Clubs Champions a servi au coach pour monter une équipe presque exclusivement composé des joueurs professionnels basés en Europe ou en Afrique du Sud. Seuls Pascal Kalemba et Milambo, tous les deux anciens de l’AS Vclub et actuels sociétaires du FC Lupopo de L’Shi ont effectué le déplacement jusqu’en France. Les internationaux de DCMP et du TP Mazembe étant appelés à jouer le dimanche prochain des matches décisives en Champion’s league.
Hormis quelques comportements isolés qui méritent d’être corrigés, l’équipe congolaise dans l’ensemble a fait preuve d’une belle générosité, car à chaque fois qu’ils étaient menés au score, elle a su réagir à temps et imposer sa marque aux éléphants. Pascal Kalemba nous a semblé très bon dans les perches, mais il doit obligatoirement soigner sa relance du jeu, car le gardien constitue dans le football moderne le point de départ de toutes les actions de son club. Avec un milieu du terrain flottant surtout en première période, la défense congolaise a été obligée de sortir le grand jeu. Avec Bageta impérial, soutenu dans l'axe central par Mubiala, Ilunga Hérita et Lembi Nzelo ont tenu bon, malgré le but encaissé suite à une hésitation due à un mauvais placement qui a fait croire à un hors jeu.
Nous avons cependant noté que Shabani Nonda n’a pas encore repris sa forme d’antan et souffre d’un manque de compétition criant. Toutefois, il nous a prouvé avec le penalty qu’il a admirablement converti qu’il reste le grand espoir du football congolais.
Des telles expériences doivent être multipliés pour permettre aux joueurs à mieux se connaître et à acquérir les automatismes nécessaires qui vont les aider à évoluer harmonieusement.
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ngungu.populus.ch – le 06.02.2005
Encore une bourde africaine
L'armée togolaise "confie" le pouvoir au fils du président Eyadéma décédé
LOME (AFP), le 06-02-2005
Au lendemain du décès du président et de la désignation par l'armée de son fils Faure Gnassingbé pour lui succéder, les pressions internationales se sont multipliées pour que les autorités du Togo reviennent sur ce que l'Union africaine a qualifié de coup d'Etat.
Les autorités togolaises ont de leur côté décrété deux mois de "deuil national" pour celui qui a régné pendant 38 ans sans partage sur ce petit pays d'Afrique de l'ouest et était le doyen des chefs d'Etat africains en exercice.
Au pouvoir depuis 1967, le général Gnassingbé Eyadéma, 69 ans, est décédé samedi matin "alors qu'il était évacué d'urgence" pour des soins vers Israël.
Peu après l'annonce de son décès, les Forces armées togolaises (FAT) ont "confié" le pouvoir à Faure Gnassingbé, un des fils du chef de l'Etat, au mépris des dispositions de la Constitution togolaise qui prévoit que le président de l'Assemblée nationale exerce l'intérim en attendant l'organisation d'une élection présidentielle dans les 60 jours.
Cette décision de l'armée, immmédiatement dénoncée comme un "coup d'Etat" par l'Union africaine, a suscité au fil des heures de nombreuses réactions de la communauté internationale, toutes réclamant le respect de la "légalité constitutionnelle".
Dimanche, la France a ainsi appelé au "respect de la Constitution togolaise". "La transition doit être assurée, conformément aux dispositions de la Constitution, et dans le strict respect de la légalité, par le président de l'Assemblée nationale", a affirmé le Quai d'Orsay.
Le président Jacques Chirac a eu dimanche plusieurs entretiens téléphoniques avec des dirigeants africains avec lesquels il est "en contact étroit", selon l'Elysée.
La France "soutient les efforts engagés par l'UA (Union africaine) et par la CEDEAO (Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest) pour convaincre les forces politiques togolaises de s'en tenir au strict respect de la Constitution".
"La France est évidemment totalement solidaire de la condamnation par l'UA de toute forme de coup de force" au Togo, a ajouté la présidence française.
Le président en exercice de l'organisme panafricain, le chef de l'Etat nigérian Olusegun Obasanjo, a réaffirmé dimanche que l'UA "n'acceptera aucun transfert anticonstitutionnel du pouvoir au Togo".
Au nom de l'UE -- qui était en train de négocier avec Lomé la reprise de son aide, suspendue depuis 1992 en raison de violences politiques -- le Commissaire européen au Développement et à l'action humanitaire, le belge Louis Michel, a également appelé dimanche les responsables togolais au "respect strict des procédures prévues par la Constitution".
"Toute autre démarche ne pourrait qu'hypothéquer la stabilité du pays, le dialogue politique interne ainsi que les perspectives d'amélioration des relations avec l'UE", a estimé M. Michel.
Ces bouleversements politiques n'ont suscité aucune réaction populaire à Lomé, où la situation était parfaitement calme depuis samedi soir. Aucun déploiement militaire anormal n'était signalé dans les rues de la capitale togolaise.
Fambaré Natchaba Ouattara, le président de l'Assemblée, était arrivé samedi soir au Bénin à bord d'un vol d'Air France dérouté sur Cotonou, après la fermeture des frontières aériennes, terrestres et maritimes du Togo.
Selon un haut responsable béninois, M. Natchaba, qui s'est entretenu avec plusieurs officiels à Cotonou, devait être emmené dans la journee à la frontière entre le Bénin et le Togo
ngungu.populus.ch – le 31.01.2005
Daring Club Motema Pembe de Kinshasa, plus fort que Rayon Sport du Rwanda
Le DCMP, Champion de la LINAFOOT a réussi de belle manière son entrée en Champion’s League. Recevant le FC Rayon Sport du Rwanda au stade des Martyrs de la Pentecôte, les poulains de Hilaire Lumbaie ont gagné sur le score de 3 buts à 0.
Cette victoire a une double signification pour les congolais qui ont réussi de laver l’affront subie par les Simba l’année dernière à Kigali. Elle traduit surtout la suprématie du football congolais par rapport à ces arrogants rwandais qui n’ont pas lésiné avec les moyens pour arracher une victoire sur terrain adverse et confondre tous les congolais.
Mvete (deux buts) et Jacques Yemweni tous les deux transfuges du TP Mazembe ont été les boureaux du Rayon Sport.
Nous demandons aux immaculés de redoubler les efforts pour arracher la qualification au match retour.
Le TP Mazembe s’impose sur le plus petit score face à Asfa Yennega du Burkina Faso
L’autre match qui a opposé le Tout Puissant Mazembe Englebert à l’ASFA YEMEGA du Burkina Faso dans le cadre de cette même compétition s’est soldé à l’avantage des Corbeaux de L’shi sur le score de 2 buts à 0.
Ainsi, au décompte final, les trois clubs qui ont disputé des rencontres dans le cadre des compétitions africaines s’en sont tirés avec brio. Toutefois, le Cilu de Lukala a réalisé le meilleur score qui lui permet d’envisager la phase retour avec beaucoup de sérénité.
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ngungu.populus.ch – le 29.01.2005
COUPE D’AFRIQUE DE LA CAF
Le Sporting Club Cilu de Lukala effectue une promenade de santé face au FC BOUAFFLE de la Cote d’Ivoire
En match aller comptant pour les préliminaires de la Coupe de la CAF disputé le vendredi 28 janvier 2005 au stade des Martyrs de Kinshasa, le Sc Cilu de Lukala, l’un des deux représentants de notre pays en coupe de la CAF a réussi son entrée de belle manière.
Face au FC Bouafflé de la Cote d’Ivoire, notre représentant qui a su tirer les leçons de sa déconfiture de l’année dernière a été sans pitié face aux ivoiriens. 5 buts à 0, tel est le score qui a sanctionné cette partie qu’ils ont entièrement dominé et qui les place à l’abri d’une surprise désagréable au match retour qui sera joué dans deux semaines.
Bravo aux Cimentiers de Lukala qui viennent par ce résultat de faire honneur au football de Mbanza Ngungu dont ils sont les dignes représentants.
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ngungu.populus.ch – le 28.01.2005
ORAISON FUNEBRE DE LA MUTUALITE KINZINGA DE MBANZA-NGUNGU AUX FUNERAILLES DE L'HONORABLE LUNGUANA NDOSIBA André
A KUILU-NGONGO LE 26 JANVIER 05.
L'honorable LUNGUANA à été inhumé ce jeudi 27 janvier 05 à MATENTE, son village situé près du groupement de Luvaka dans le secteur de Gombe-Sud.
Nous vous reproduisons in extenso, l’une des nombreuses oraisons funèbres, lue par Monsieur Robert LUKEBANA MBALA, 3èmè Vice Président de la Mutualité KINZINGA, une association regroupant les ressortissants de Gombe Sud basés à Mbanza Ngungu, dans la résidence de l’illustre disparu à Kuilu Ngongo, le 26 janvier 2005.
Tata Lunguana,
Mfumu Lunguana,
Honorable Lunguana,
Tutomene bo zaya vo kua beto ku kongo : « mvumbi wa fua ku meso, ku matu nkelo »
Nous avons appris depuis ce mardi 20 janvier 05 la triste nouvelle de votre disparition inopinée depuis l’Afrique du Sud où vous avez précipitamment été conduit quelques jours auparavant pour des soins appropriés. Notre destin n’étant pas sous notre contrôle conscient, le sort a plutôt décidé de vous arracher de notre affection en mettant fin à vos brillants jours. Cette nouvelle a plongé toute la nation en deuil et plus particulièrement votre communauté d’origine au sein de la Mutualité Kinzinga de Gombe-Sud. C’est au nom de cette prestigieuse mutualité datant de 1953 que nous venons vous rendre nos derniers hommages les plus déférents au regard de ce que vous représentez pour elle dans sa base natale et originaire du secteur de Gombe-Sud. Vous avez été l’un des plus prestigieux fils du coin qui a valablement défendu les couleurs du secteur de Gombe-Sud à l’échiquier tant local, provincial que national voire international. Vous avez été au cours de ces 50 dernières années celui-là même qui a marqué les plus d’empreintes visibles aussi bien à Kuilu-Ngongo qu’à Gombe-Sud et à travers quasiment tous les grands centres de la province du Bas-Congo jusqu’à la Capitale. Vous vous êtes manifesté sous plusieurs labels dans le monde des affaires, de la politique et de la notoriété sociale.
Au cours de notre dernière réunion de la Mutualité Kinzinga, réunion extraordinaire, du reste motivée par votre disparition, nous avons demandé à l’assistance de nous dire ce que l’Assemblée aimeraient entendre dans cette oraison funèbre. Nous avons retenu de façon diverse mais convergente mutatis mutandis ce qui suit :
• M,fumu Lunguana était un homme de tout le monde, sa simplicité et son engagement aux activités d’intérêt publics et communautaires étaient plus que spontanés,
• L’Honorable Lunguana s’est le symbole même du commerce, de l’agropastorale et de l’entretien de l’axe routier Kuilu-Ngungo-Kimpangu. A l’heure où vous nous quittez, malheureusement votre route chérie et qui va, d’un moment à l’autre, vous voir passer pour la toute dernière fois, cette route , disais-je, n’est pas vêtue de sa belle robe. Dans notre mémorandum sur la réhabilitation de cette route à l’attention du vice-président en charge du Développement et reconstruction, votre nom est en avant plan. Alors que tout le monde a presque apposé sa signature, votre espace est reste non signé. Nous n’attendions plus que vous. Qui donc signera à votre place ?
• M,fumu Lunguana, malgré votre maladie, nous vous avons vu aller tâter la réalité du terrain à la base. Votre esprit d’écoute était très remarquable tandis que votre disponibilité illimitée. Il vous est arrivé à traverser à pieds mouillés sous courant d’eau de la dangereuse rivière de Fulezi proche de Kimpangu dont le pont avait été bombardé depuis le 28 décembre 1999, soit dit en passant, lors de l’occupation de triste mémoire de cette partie du pays par les forces rebelles de l’UNITA.
• La communauté de la Mutualité Kinzinga est resté marquée par votre magnanimité et votre générosité pour tant de facilités accordées dans le déplacement des dépouilles des centres urbains pour leurs villages respectifs. Parmi les derniers cas en liste, nous pouvons à titre illustratif évoquer le transport de Papa Lukau Mbetete et papa Mavakala Maclé de Mbanza-Ngungu et de Kisantu respectivement.
• Nous ne saurons hic et nunc déballer votre œuvre de taille encyclopédique de peur que l’on ne retienne trop longtemps bien que sans impatience d’éminentes personnalités de tous les coins qui ont effectué le déplacement de Kuilu-Ngungu pour venir vous rendre leurs derniers hommages.
Pour tout cela nous vous disons grand merci et que Dieu vous en rende à l’infini et à votre progéniture.
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Très chers frères et sœurs,
Comme déjà évoqué dans la biographie de l’illustre disparu, il laisse derrière lui une famille nombreuse et un grand nom dans le monde des affaires. C’est l’occasion pour nous de signifier qu’il n’est pas facile de combler le vide d’un homme de la trempe l’honorable Lunguana. Cependant, il revient à tout un chacun parmi nous la lourde responsabilité de concourir à la recherche inéluctable de la sauvegarde de l’honneur et des acquis de l’illustre disparu pour que son nom se perpétue comme il aurait souhaité lui-même et même allé positivement au-delà de ses attentes. C’est une noble et délicate mission qui nous incombe et à laquelle on ne saurait se dérober vu l’intérêt et le sacrifice consentis par le défunt pour tisser patiemment la toile de ses multiples initiatives et entreprises. Une fois nous aurons réussi cette mission, alors nous pourrons dire avec fierté : « le roi est mort, vive le roi ». C’est en ce terme que nous disons adieu à notre Ambassadeur et que la terre de nos ancêtres lui soi douce et légère.
Fait à Mbanza-Ngungu le 25 janvier 2005
Le comité Kinzinga de Mbanza-Ngungu
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ngungu.populus.ch – le 20.01.2005
<NOUVELLES SPORTIVES EN BREF
- Monsieur NSIKU MVUANGA Thomas élu Président du FC GWAGWA
- Mbuta Fé élevé au rang de Membre Co-Fondateur du Club
- Dr Léon KINTAUDI et MUSAMBOTE Morgen confirmés aux fonctions de Tuteur.
L’Assemblée Générale Elective du FC GWAGWA de Mbanza Ngungu tenue le lundi 17 janvier 2005 vient d’élire les membres du nouveau Comité sportif qui aura la lourde charge de conduire aux destinées de cette équipe.
Voici à cet effet la composition dudit comité :
Tuteurs : Dr Léon KINTAUDi
Morgen MUSAMBOTE
Président : NSIKU MVUANGA Thomas
1er Vices-Président : KITUBA MAKUNZA
2ème Vice-Président : KABANGU Peter
Secrétaire : LUNZAYILA Roger HIRO
Trésorier : SILULUKI MANTETE Pablo
Conseillers : - NGANGA MABIDI Aaron
- LUKUBU
- MAYIMONA
Intendant : Maître NSUMBU Remy
Par ailleurs, MAHENGA NKAZI Félix, plus connu sous le pseudonyme de MBUTA FE a été élevé au rang de membre co-Fondateur de cette équipe pour le rôle qu’il a joué dans la phase de la naissance de GWAGWA et pour sa longévité dans l’équipe.
Sant’Agha
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ngungu.populus.ch – le 19.01.2005
District des cataractes : Le chef de Bureau de l'hôtellerie et tourisme se lance dans la promotion du tourisme
A l'initiative du chef de bureau du district des Cataractes chargé de l'Hôtellerie et du Tourisme, le 25ème anniversaire de la célébration de la Journée mondiale du tourisme a été l'occasion pour le lancement de la promotion du tourisme. M. André Vangu Nkanza Lumanisa, parce que c'est de lui qu'il s'agit, a conduit, pour la circonstance, ses invités au village Bangu-Langa, dans la contré de Kitoma-Kuiza.
Le chef de André Vangu-Nkanza a eu à organiser à l'intention de ses hôtes, une visite guidée à l'historique grotte de chute Ngovo, située à 13 Km au Sud-Est de la ville de Mbanza-Ngungu.
Les sources sûres soulignent qu'il a été noté par les visiteurs de la grotte de chute Ngovo réputée pour ses poissons aveugles la présence des membres du comité de sécurité du district des Cataractes, les délégués des entreprises publiques et privées. Avec en tête l'Administrateur du territoire de Mbanza-Ngungu, représentant du commissaire de district empêché, la délégation a quitté, en ce jour, le lieu de rassemblement à 9 heures, à destination du site de visite.
Monsieur André Vangu-Nkanza, chef de Bureau du service organisateur a fait, lui-même, fait office de guide. En ce qui concerne la description de ladite grotte, ce dernier a été secondé par le chef des travaux Kimbembi de l'Institut supérieur pédagogique de Mbanza-Ngungu. En sa qualité de technicien en la matière, M. Kimbembi a fait une analyse biosphérique de cette Grotte. Tandis que le chef de bureau, lui-même, a abordé l'aspect historique, la description et la situation écologique de cette grotte qui n'a cessé d'attirer les touristes venus de tous les coins.
Sous le thème " Le tourisme, c'est vouloir réaliser un voyage éclair " retenu pour la circonstance, les touristes ont été fascinés, pendant deux heures de découverte, par la beauté et la nature exceptionnelle du lieu de randonnée. La découverte de cette grotte aux poissons aveugles démontre à suffisance que la République démocratique du Congo n'est pas seulement une mosaïque géologique, de par la folle richesse convoitée de son sous-sol, mais également un scandale écologique.
Ce qui, en principe, pouvait hisser la Rd-Congo au rang des grandes nations du tourisme, jusque-là comme plate-forme touristique du Congo. Cet atout est doublé par l'hospitalité légendaire que le commun des mortels reconnaît au peuple congolais. Malheureusement, personne, alors personne ne fait cas à la promotion des avantages écologiques dont Dieu a doté ce pays aux dimensions d'un sous-continent.
Pourtant, certains pays, à travers le monde, ont des économiques quasi stables suite au développement de leur secteur touristique et hôtelier. C'est le cas, en guise d'illustration, de la plupart des Etats, anciennes colonies françaises d'outre-mer. Parmi les dignes fils de ce pays, qui demeurent soucieux de la protection du patrimoine naturel riche que Dieu a confié au peuple congolais, on peut citer le chef de bureau de l'Hôtellerie et du tourisme du district des Cataractes, M. André Vangu-Nkanza Lumanisa est de ceux-là.
Lu dans le journal L'AVENIR
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ngungu.populus.ch – le 13.01.2005
L’Institut Bindungi sauvé par ses anciens élèves
Arter, un correspondant occasionnel vient de nous faire parvenir cet important article qui doit nous interpeller tous.
Lisez la attentivement!
« Un peuple sans culture est un peuple sans avenir ». C’est le thème qui a réuni, le dimanche 9 janvier 2005, la « Communauté d’anciens élèves de l’Institut Bindungi » (Canelib) au Concerto Hall à Yolo-Sud dans la commune de Kalamu.
Cette rencontre, organisée pour renforcer les liens entre les anciens de Bindungi, était aussi une occasion pour la communauté Suku de la province du Bandundu présente à Kinshasa d’échanger les vœux pour l’année 2005.
Le message fort destiné aux invités était de « considérer l’homme à sa juste valeur humaine », pour, « donner la valeur à la personne humaine quel que soit son âge ».
Dans sa communication, Me Fidèle Bula M., président de cette communauté et conseiller juridique au ministère de l’Environnement, a lancé un appel pathétique à tous les originaires du territoire de Masimanimba et du district de Kwilu, notamment aux intellectuels et hommes d’affaires, de s’unir pour prendre en main l’avenir socio-économique de leur terroir. Etant signataire des statuts du mouvement « Patriotes résistants Maï-Maï » (Prm), Fidèle Bula a convié ses compatriotes à la vigilance. « L’année 2005 est pleine d’enjeux, surtout politiques. Vous devez être attentifs pour ne pas tomber dans les filets des démagogues », a-t-il martelé dans son allocution. Avant de brosser un bref aperçu historique de l’institut Bindungi.
Créé en 1976, il est situé dans le secteur du même nom, dans le groupement Mwelandua en territoire de Masimanimba, dans le district de Kwilu, dans la province du Bandundu. Depuis sa création, cet institut n’organisait que la section pédagogique. C’est en 1998 qu’une autre option (scientifique/math-physique) s’est ajoutée. Actuellement, l’institut fonctionne dans des conditions précaires.
A cet effet, la Canelib a prévu 200 sacs de ciment pour la réfection dudit institut. Un groupe électrogène capable d’alimenter l’institut est attendu dans les prochains jours, puisque le village et même des appareils, tels la photocopieuse et les ordinateurs, seront achetés par le groupe. A cela s’ ajoute un lot d’ouvrages scientifiques, des tableaux noirs pour cet institut, les écoles des environs ainsi que des médicaments pour le centre de santé de la place
Cette communauté s’est engagée à prendre en charge les lauréats du cycle de graduat et ceux des examens d’Etat 2004-2005. Elle a également promis la construction de l’Isdr/Mosango.
Pour Valentin Tumbwa, l’érection de cet institut dans le secteur de Bindungi est justifiée par des raisons sociales. Le but est d’aider les familles pauvres qui n’ont pas la possibilité d’envoyer leurs enfants à l’internat.
Godard Mabokoy
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ngungu.populus.ch – le 12.01.2005
Mbanza-Ngungu sérieusement menacé par 32 têtes d’érosion
C’est ce qu’a déclaré à l’Agence congolaise de presse (Acp) Mr Lenda, Chef de division provinciale de l’urbanisation et habitat du Bas-congo. Par ailleurs, l’ingénieur Lenda a appelé de tous ses vœux l’intervention du gouvernement de transition pour sécuriser cette cité. Il sied de noter que Mbanza-Ngungu qui doit fêter au mois d’avril prochain son premier centenaire, est menacé par des érosions qui engloutissent plusieurs maisons d’habitation à travers les quartiers peuplés de plus au moins 15 mille habitants.
Cette nouvelle très inquiétante pour nos populations doit être prise au sérieux aussi bien par le gouvernement de transition que par les Autorités provinciales qui peuvent intervenir dans les sites ne nécessitant pas des gros moyens financiers. Vaut mieux prévenir que guérir. Le mal ayant été diagnostiqué à temps, il ne faut pas attendre qu'il y ait des victimes pour réagir et apporter une aide qui n'aurait plus sa raison d'être.
Nous ne pouvons que féliciter le Chef de la Division provinciale de l'Urbanisation pour avoir alerter les pouvoirs publics à temps. La balle se trouve dans le camp des décideurs politiques.
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ngungu.populus.ch – le 11.01.2005
LA NGUNGUOISE a la rescousse de l’Eglise de la Communauté Evangélique du Congo de
Mbanza Ngungu
Ce week-end, la cité de Mbanza Ngungu a vibré au rythme et aux couleurs de LA NGUNGUOISE. Une ambiance de fête a régnée dans les rues de cette cité dont le clou fut la cérémonie haute en couleur, comme seuls les membres de ce groupe en connaisse le secret, a eu lieu le samedi 8 janvier 2005 au cours de la célébration du culte organisé pour la circonstance, en l’Eglise de la CEC, situé sur l’avenue Makanda Kabobi (ex. Astrid).
En effet, sous la conduite du Dr Léon Kintaudi, Président du Comité Directeur entouré de Messieurs Séraphin BAVUIDI BABINGI, SILUVANGI, Pascal MUNKATU et Hilaire MABELUANGA et son épouse, Membres d’Honneurs du groupe, une forte délégation de la NGUNGOISE-Kinshasa composée de Ntona Lulendo, Hubert Betamona, Mama Zala, Mama Marie Thérèse Mapuata, Alexis Mandiangu,Madame Béatrice Kintaudi, Madame Cathy Betamona, Dr Casimir Mazengo, Jean Bosco, emile, Augustin Malonga, franklin Kibuabua, Alphonse Boly Zayobi, Bob Diangikulua, Biese bia Nza et Elysée Mude Koko, a procédé à la remise d’un don constitué de 170 tôles,75 kilos de clous, 120 madriers en vue de permettre aux membres de l’église précitée de réaliser les travaux de finissage de leur lieu de prière.
Le Vice Gouverneur de la province du Bas-Congo, chargé des Questions Economiques et Financières, Monsieur Déo NKUSU, de passage à Mbanza Ngungu a rehaussé de sa présence cette cérémonie à laquelle s’était joint Monsieur Mbedi wa Kitembedi, Commissaire de District des Cataractes. Cette présence aux côtés de ses frères de LA NGUNGUOISE a été beaucoup appréciée et fortement applaudie par cette population qu’elle est censée représentée au sein de l’Exécutif provincial.
Ce lot de matériel que LA NGUNGUOISE vient de remettre à cette église fait partie des matériaux qui auraient été utilisés pour les travaux de construction de la morgue de Nsona Nkulu, dont la pose de la première pierre avait eu lieu l’année dernière. Maintenant que le Gouvernorat de la province a compris l’importance de ce projet à haute portée sociale pour nos populations, il était normal que les matériaux déjà disponibles soient affectés à une autre œuvre d’intérêt public.
Pour revenir à l’organisation symbolique de cette manifestation, disons que LA NGUNGUOISE a voulu traduire l’un de ses projets par un acte. Il a ainsi pris toute la communauté locale à témoin, en leur réaffirmant que leur projet de construction de la morgue de l’hôpital de Nsona Nkulu qu’ils avaient initié n’était pas une farce de mauvais goût. N’en déplaise à certaines gens qui se disent notables de la ville, mais qui sont en réalité, les premières personnes qui ont toujours, par leur comportement versatile, torpiller toutes les bonnes actions en rapport avec le développement de cette ville. Leur spécialité étant celui de vouloir manger à tous les râteliers.
En cette année du Centenaire, les membres de LA NGUNGUOISE ne veulent pas croiser leurs bras. Avec leurs cotisations et comptant sur le concours et le soutien de leurs Membres d’Honneurs et de certains frères de la diaspora ngunguoise, ils sont décidés de réaliser d’autres actions en faveur de cette cité. C’est dans cet ordre d’idée que le Comité Directeur va dévoiler son ambitieux programme lors de la première réunion ordinaire de l’année 2005 qui se tiendra, comme d’habitude, à la fin de ce mois de janvier.
En outre, profitant de leur passage à Mbanza Ngungu et répondant à une préoccupation du Commissaire de District qui etait bloqué, faute des moyens, dans les travaux de réhabilitation de l’Avenue Nsona Nkulu, LA NGUNGUOISE a décidé séance tenante de contribuer avec une montant de 500 USD. Cette somme permettra, selon les dires du Chef de l’Administration des Cataractes, la reprise des travaux d’aménagement de cette grande artère de la place.
Le président de LA NGUNGUOISE est fermement décidé de redorer l’image de marque de cette association. Des grandes actions sociales sont prévues au programme de cette année. Une école, dont ils ont tu le nom pour des raisons évidentes, est déjà dans leur collimateur. Ce groupe vient aussi de prendre l’engagement d’impliquer sa Commission Sociale dans un vaste campagne d’éducation et de moralisation de la population avec une série d’émissions radio – télévisée et dont le thème principal sera : « LA NGUNGUOISE ET LA SOCIETE ». Cette campagne est d’une grande importance, car la population doit apprendre à se prendre en charge et travailler davantage pour l’intérêt communautaire. Le temps du paternalisme et du parrainage est terminé. Que les potins de concierges et spécialistes des commérages de tout bord comprennent que les temps ont changé et avec le nouveau paysage politique qui se pointe à l’horizon, plus rien ne sera comme avant.
Le Site Web ngungu.populus.ch qui veut être un instrument au service du développement de cette entité met en garde tous les prophètes de malheur qui ne jurent que sur les échecs des autres. Autant que les personnes méritantes seront encensées et félicitées, autant les ennemis du progrès de cette ville seront dénoncés et jetés à l’opprobre du public. A bon entendeur, Salut !
REACTIONS APRES LA CEREMONIE
Commentant à chaud sur le déroulement de cette cérémonie qui a fait tâche d’huile à Mbanza Ngungu, quelques inconditionnels de LA NGUNGUOISE ont déclaré ce qui suit :
BOLY ZAYOBI : LA NGUNGUOISE vient de frapper dur en portant un grand coup à ses détracteurs. Maintenant que la machine est sur les rails, Elle ne doit plus s’arrêter en si bon chemin. Des telles actions doivent être poursuivies et réalisées de manière périodique.
Dr Casimir: Nous venons d’administrer une belle leçon à ceux qui ne supportent pas la présence de LA NGUNGUOISE à Mbanza Ngungu. Cette ville nous appartient à TOUS, jeunes et vieux. Cette fois – ci, on ne reculera plus.
Hubert Betamona: Incroyable mais vrai ! LA NGUNGUOISE vient de redorer son image de marque qui était de plus en plus ternie, par certaines personnes de mauvaise volonté. Nous aimerions savoir ce qu'ils vont encore raconter sur notre association.
Dr Kintaudi : Quant au président de LA NGUNGUOISE, il a conclu en disant que l’affront qui a été faite à son groupe vient d’être lavée. Avec cette prise de conscience qui anime tous ces membres, il a promis d’autres surprises dans les prochains jours.
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ngungu.populus.ch – le 10.01.2005
LU POUR VOUS
KISANTU FRAPPEE PAR DES INNONDATIONS
Le Général-Major Joseph Kabila a été sensible à la catastrophe qui a frappé une partie de la population de Kintanu (Kisantu) dans la province du Bas-Congo, depuis le 28 décembre dernier.
« Je suis envoyé par le Chef de l’Etat, le Général-Major Joseph Kabila, en tant que fils du terroir, pour voir et constater ce qui s’est passé et aussi pour réconforter les sinistrés », a notamment déclaré l’Ambassadeur itinérant Antoine Ghonda, émissaire du Président de la République à Kisantu ; qui par ailleurs ajouté qu’à son retour à Kinshasa, la situation serait étudiée pour des solutions plus appropriées.
A son arrivée au siège du District de la Lukaya (à Kisantu), l’Ambassadeur itinérant du Chef de l’Etat a été accueilli par le directeur de la province, envoyé du Gouverneur de la province du Bas-Congo qu’entouraient le Commissaire du District Makengo Matamba, son assistant Jean-Paul Niati-Niati ainsi que les notabilités du territoire de Madimba, de la Cité de Kintanu et le Comité de crise chargé de gérer sur le terrain la situation des sinistrés.
Aussitôt, M. Ghonda s’est fait expliquer la situation et ensuite il s’est rendu au point de captage d’eau de la Régideso dont les installations étaient aussi submergées, ce qui a paralysé ses activités et a privé d’eau toute la ville de Kisantu pendant près de 4 jours.
L’envoyé du Chef de l’Etat a ensuite traversé le pont d’Inkisi pour se rendre sur les lieux du sinistre dont l’école de l’Eglise Kinlombo (au quartier Carrière) où était casé le plus grand groupe des sinistrés.
L’Ambassadeur Ghonda est ainsi entré en contact direct avec les sinistrés dont il a entendu des explications sur ce qui leur était survenu tout comme il a reçu leurs doléances.
S’adressant à la population en lingala, l’Ambassadeur Ghonda a transmis la sympathie du Chef de l’Etat qui a-t-il dit, « a été très préoccupé par cette catastrophe qui a frappé ses concitoyens de Kintanu ».
Après cette rencontre, M. Ghonda s’est rendu au Centre de la Cité de Kintanu, choisi comme lieu de rencontre pour la circonstance, où il a remis aux représentants des sinistrés, le don symbolique du Chef de l’Etat qui « sera suivi d’un autre plus significatif ».
Dans un premier temps le geste consistait en quelque 5 ballots et paquets d’habits et de vivres. Le représentant du chef de l’exécutif de la province du Bas-Congo a lui aussi remis la somme de 500.000 Francs Congolais comme contribution du gouvernorat au malheur de ses administrés en difficultés.
Quand les crues inattendues surprennent les habitants de Kintanu
C’est depuis le mardi 28 décembre 2004 que la population riveraine de la rivière Inkisi, habitant les quartiers Wombo, Mfuki, Carrière et Kimbondo a senti l’eau de la rivière quitter progressivement le lit pour s’avancer vers les maisons. Cette situation était inattendue et surprenante d’autant plus qu’il n’y avait pas eu de grandes pluies dans le coin les jours précédents. L’eau a tellement afflué qu’en une nuit, elle a englouti des maisons sur une distance de près de 700 mètres de la rive. Les habitants presque avertis ont pu se sauver tout en emportant ce qui pouvait l’être. C’est ainsi que l’on a regretté que des pertes matérielles car on n’a noté aucune perte en vie humaine liée directement aux méfaits des eaux.
Le Comité de crise a dénombré 6000 sinistrés (soit près de 600 familles) regroupés en 3 sites d’hébergement. Selon les dires de la population qui réclame une solution définitive à cette situation, les inondations seraient cycliques et reviendraient tous les 10 ans. Les premières sérieuses inondations s’étaient produites en 1990, les secondes en 2000. Celles de cette fois, qui n’ont pas suivi le cycle, semblent avoir été les plus importantes de toutes. Une chose est à remarquer ; ces inondations surviennent toujours à la fin du mois de décembre entre le 27 et 28. Quant à leur origine, elles proviendraient des fortes précipitations qui se produisent en amont de la rivière Inkisi qui prend sa source en Angola et qui traverse ainsi plus de 100 km avant d’atteindre Kisantu.
Le vœu des sinistrés
La plupart des sinistrés qui ont parlé au représentant du Chef de l’Etat ont tous insisté sur une solution définitive à cette situation d’inondations cycliques.
Entres autres demandes, il y a la proposition d’évacuer dans les quartiers exposés aux crues, tous les habitants sur un rayon de 700 mètres en vue de les recaser sur un autre site plus sécurisant. Les lieux abandonnés seraient simplement réservés aux cultures maraîchères, quoi que cette fois, beaucoup de maraîchers aient aussi perdu leurs cultures.
Mais dans l’immédiat, les sinistrés demandent aussi qu’ils soient médicalement suivis de près car certains d’entre eux ont vécu pendant 4 jours dans des conditions hygiéniques et de promiscuité difficiles qui peuvent avoir des conséquences néfastes à la longue. Il faudrait également que l’on puisse désinfecter leurs maisons avant qu’ils ne rentrent y habiter.
Démarrage des travaux de construction de la morgue de Mbanza-Ngungu : un million de francs congolais libéré par le Gouvernorat de notre province
Le gouverneur de la province du Bas-Congo, César Tsasa-di-Ntumba vient d’octroyer un montant d’un million de Francs Congolais et 100 sacs de ciment à l’hôpital de référence de Nsona Nkulu, pour la construction d’une morgue frigorifique.
C’est la grande nouvelle que nous avons l’honneur de porter à la connaissance de tous les ngunguois qui doivent retenir qu’à travers cet acte, l’autorité n° 1 de notre province vient de concrétiser un projet qui hier, était encore un rêve.
Pour tous les ngunguois, c'est une injustice qui vient dçetre reparé, car la population de cette ville ne parvenait pas à s'expliquer cette politique discriminatoire du Chef de l'Exécutif provincial qui avait déjà initié des projets du même genre dans les villes de Boma et de Kisantu.
Notre souhait est que cette expérience soit étendue à d'autres villes de la province, plus particulièrement Kimpese qui dispose d'un des plus grands centre hospitalier de notre province.
Pour revenir à la morgue de Mbanza Ngungu, elle aura dans sa phase finale, une superficie de 63 m2 et sa température de conservation variera entre 0 à 4 degrés. Il aura une capacité d’accueil de 36 corps. Quant au coût des coût des travaux, il est estimé à 35.000 dollars américains.
Selon les estimations des experts, les travaux de construction de ladite morgue prendront fin au mois d’avril 2005.
Bientôt, une usine de construction des maisons pré-fabriquées à MATADI
Bientôt, la ville de Matadi, Chef-Lieu de la province du Bas-Congo sera dotée d’une usine de construction des maisons pré-fabriquées.
Cette usine va servir de support au projet qui est confié au groupe allemand «Streif» va s’occuper de la construction dans la ville portuaire de 500 maisons du type habitation sociale.
Les entreprises générales «Groumas» ont été également associées à ce projet
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Date : 25/12/2024
Heure : 12.45
ngungu.populus.ch – le 15.12.2004
Centenaire de Mbanza – Ngungu Version II.
Rédaction: NSUMBU BADIKA, KIMPIANGA MAHANIAH, Edgard NGONDE, MIEZI KOKE, Arthur NIEMBA
LA RELANCE DU DEVELOPPEMENT PAR LA CULTURE
A l’occasion du centenaire de la ville.
Ième PARTIE : L’EVENEMENT
I. Présentation.
Depuis sa création en 1905, l’agglomération urbaine de Mbanza – Ngungu va bientôt avoir 100 ans d’existence. Ainsi, une année de centenaire est proclamée dont les festivités vont en trois temps tout au long de l’année 2005. Un premier temps de sensibilisation et de mobilisation sociale correspondant au premier trimestre de l’année, un deuxième temps de célébration du centenaire au mois d’avril et un troisième temps de mise en route des projets du centenaire.
Cette agglomération qui est née dans le sillage de la création de l’atelier central des chemins de fer a pris pendant longtemps le nom de Thysville, partant du nom du fondateur de ces ateliers, nous citons Monsieur Albert THYS. Perchée à 750 m sur le mont anciennement Cristal, aujourd’hui Bangu, cette agglomération connue la première mutinerie des forces publiques, l’armée de la colonie belge, l’incarcération et le jugement de Simon Kimbangu, le prophète noir.
Thysville, aujourd’hui Mbanza – Ngungu, a été crée pour répondre aux besoins du chemin de fer Matadi - Kinshasa qui a une vocation nationale. Ainsi, la vocation nationale de Mbanza – Ngungu doit être au centre des activités du centenaire. Cette vocation nationale est cimentée par la présence des bases militaires, du quartier général du district des Cataractes, de l’université Kongo, de l’Institut Supérieur Pédagogique, de l’atelier du chemin de fer. En fait, le chemin de fer donc son atelier, était la force motrice qui a donné la vie à Mbanza – Ngungu. Cette unité a attiré les activités commerciales et la population qui ont transformé à Mbanza – Ngungu en un centre industriel et commercial. Dès le départ, elle avait une dimension industrielle et économique. C’est le chemin de fer qui était le pourvoyeur principal de l’emploi ; C’est le chemin de fer qui était la force économique de tel enseigne qu’elle était le pourvoyeur principal de l’emploi et le sponsor des activités culturelles et sportives de Mbanza – Ngungu.
Cependant, la délocalisation du quartier général du chemin de fer, donc l’atelier, à Lufu-toto et à Kinshasa sera un coup fatal à cette cité. Le pillage sera un coup de grâce à la vocation de la ville. Elle perdra ainsi sa vocation industrielle et commerciale.
Hier, faisant le beau temps avec son hôtel Cosmopolite, ses grottes aux poissons aveugles, son Ecole interafricain de Formation des Artilleurs et des Troupes Blindées « EFATBL », ses projets de production maraîchère, aujourd’hui elle vit timidement au rythme saccadé des collations académiques de l’Université Kongo et de l’ISP.
Pour une agglomération de plus ou moins 120.000 habitants, un siècle de vie mérite une grande célébration. Non pas pour festoyer simplement, mais plutôt pour baliser les voies et moyens de relancer la dynamique de la ville en partant d’abord de la relecture de son histoire, ensuite par la recherche de renforcement des dynamiques organisationnelles des populations.
C’est également une occasion d’instaurer une manifestation biennale pour la promotion du développement à l’instar de ce qu’organise Vivra Rio (au Brésil) avec la collaboration des Gamins de l’art rue en France ou du Festival de Gungu (dans la province congolaise de Bandundu) avec ses rallyes aériens organisés en collaboration avec l’association Française ASI France.
Ainsi, de cette cité perchée sur le Mont Bangu, devra être mise en place les stratégies de redynamisation de toute la région rurale de Mbanza – Ngungu, en partant de cet événement qui a pour but d’organiser la célébration du centenaire de l’agglomération urbaine de Mbanza – Ngungu.
Les Bana- Ngungu doivent penser à réinventer le rôle industriel et commercial d’alors. En fait, cette cité remplie les conditions pour être un centre industriel, économique et commercial : le climat est clément, la densité démographique est idéale pour le développement. Elle est entourée par des grands centres urbains tels que Inkisi, Kuilu-Ngongo, Lukala, Kimpese. Le chemin de fer et la route nationale le lie à Kinshasa et à Matadi, le port national. Mbanza -Ngungu a un marché ou déverser ses produits. Elle a beaucoup d’infrastructures telles que les routes, le chemin de fer, l’eau courante, l’électricité, les hôpitaux ; les écoles, etc.
Il faudra penser à y créer des unités de production et de transformation, des entreprises, des banques, des coopératives d’épargne et de crédit, etc. Il faudra reconstruire l’hôtel cosmopolite. Il faudra penser à mettre sur pied les projets pour la micro finance afin de pourvoir des emplois à la jeunesse. Des jeunes sans éducation et sans emploi sont une bombe à retardement. Il faudra penser à l’élaboration d’un grand programme de reboisement des alentours de la ville.
L’occasion de la célébration devait nous aider à faire la découverte du potentiel et des réalités de Mbanza-Ngungu et pourquoi pas du territoire de celle-ci dans son ensemble. Ainsi, il faudra penser à produire un livre qui nous aidera à découvrir les réalités politiques, économiques et culturelles de cette contrée. Il faudra penser à vulgariser les écrits de Bana –Ngungu (Disengomoka, Kimpianga,…)
L’objectif global visé est de mettre en place un plan de relance de l’agglomération en partant d’une relecture de son histoire. Pour cela, les objectifs spécifiques fixés sont : la relecture de l’histoire de Mbanza – Ngungu, épingler les freins et les potentiels des dynamiques de développement local et enfin produire un plan de relance pour une période de 5 ans.
III. L’appel des contributions
L’association Bana Ngungu et le comité du centenaire lance un appel aux personnes physiques ou morales en mesure de nous accompagner dans l’organisation des événements et la mise en route des projets de nous rejoindre dans ce bateau du centenaire.
La notion de Bana – Ngungu voudrait dire : toute personne ayant née, travaillée, étudié, vécu, investi, les postérités de ceux-ci. Ainsi, Albert THYS est le premier Muana Ngungu, la famille Ryckmans et les autres également.
IV. Programmation des activités.
A. Activités de préparation de la semaine du centenaire:
1) Elaboration du dossier projet pour accéder aux financements (voir Réseau Cultures et développement), DIAKONIA, KIMPIANGA MANIAHAH, MIKE Perry, Jan NOTTEBOOM, Kongo network, Rotary club fond action historique, relations Mbuta Léon KINTAUDI, internaute du master web www.ngungu.populus.ch, Centre Wallonie Bruxelles, le centre culturel Français voir Norbert le pilote)
2) Interpellation CICIBA,
3) Edition d’un dépliant sur le centenaire,
4) Inventer un logo du centenaire par concours et à vendre sous forme d’autocollant,
5) Concours pour la composition d’une chanson sur le centenaire par l’auteur de « Kuna Mbanza Ngungu,… », et d’autres compositeurs,
6) Concours de poème sur le Kongo et sa relance,
7) Produire un spot vidéo sur la cité,
8) Animation du site www.ngungu.populus.ch
o histoire de la cité,
o préparation du centenaire,
o les mets ou secrets culinaires de la région,
9) Montage participatif du ballet Kimpa Vita,
10) Edition d’une (des) carte(s) postale(s),
11) Rédaction de la brochure sur la ville,
12) Tournage comédies, sketch,…
13) Réédition dictionnaire Bentley,
14) Edition d’un calendrier 2005 avec le concours de l’APRODEC,
15) Imprimer un pagne pour le centenaire,
16) Mettre au point un plan de mobilisation sociale autour du centenaire (avec les médias locaux, kinois, Internet tels que le Kongo network, …
17) Produire le guide touristique de la région et ses environs,
18) Analyse participative de la pauvreté par quartier (enquêtes participatives dans les quartiers, atelier de restitution et validation, …),
19) Aménagement des infrastructures sportives (terrains basket, toilette au stade, …) et culturelles,
20) Les journées ouvertes de chaque entreprise installée à Mbanza – Ngungu,
21) Acquisition d’une chaîne de télévision centenaire.
B. Activités de la semaine du centenaire allant du 18 au 30 avril 2005:
1) Ouverture solennelle avec présentation des drapeaux (groupes culturelles ethniques, églises, les mutuelles, …),
2) Présentation du ballet Kimpa Vita,
3) Colloque, cycle des conférences sur la relance de la région (le développement de la ville avec ses différentes filières) ,
4) Kermesse des activités économiques du centenaire (salon des artisans),
5) Exposition des projets issues des activités de la kermesse,
6) Exposition des photos et œuvres d’art sur la mission d’évangélisation de Pères Rédemptoristes,
7) Exposition de la collection d’œuvre d’art Kiala avec interprète du musée national,
8) Concours des danses traditionnelles et modernes,
9) Inauguration télévision du centenaire,
10) Organisation des rencontres sportives, jubilé des sportifs: (Invitation Raoul Kidumu, Kabo,…)
- Tournoi interscolaire, inter quartier
- Combat de Karaté, judo et catch,
- Concours lancement de javelot,..
- Marathon populaire,
- Cyclisme Inkisi – Mbanza - Ngungu
11) Vente des cartes postales sur la ville,
12) Vente calendrier 2005 sur Mbanza – Ngungu,
13) Vente brochure sur Mbanza - Ngungu,
14) Vente livre sur la cité de Mbanza Ngungu
C. Activités de la suite du centenaire :
1) Plan d’urbanisation de la ville,
2) Jumelage de la ville et joint venture des initiatives économiques,
3) Elaboration des dossiers projets de réhabilitation des infrastructures socio -économiques de la cité,
4) Production nationale et internationale du ballet Kimpa Vita,
5) Fonctionnement de la télévision en interaction avec TV5 et autres chaînes,
6) Construction ou aménagement d’une grande salle de spectacle « anciens combattants »,
7) Appui au projet touristique « la route de Simon Kimbangu »,
IIème PARTIE : LES PROJETS DU CENTENNAIRE
N.B. Connexion avec CICIBA
II. LE PLAN DE MOBILISATION SOCIALE DU CENTENAIRE.
1. Médias locaux
2. Internet
3. Réseau des comités d’action (Europe, USA, Angola, Nigéria, …)
III. LES OUTILS DE MARKETING DU CENTENAIRE
4. Dépliant,
5. Auto collants,
6. Logo
7. Calendrier du centenaire
8. Carte postale
9. Hymne du centenaire
10. Poèmes du centenaire
11. Spot vidéo sur le centenaire
12. Animation du site web : www.ngungu.populus.ch
13. Le pagne du centenaire
14. Plaque commémorative à fabriquer en Allemagne
15. Commission de désignation des lauréats
IV. LE BALLET CULTUREL.
L’art est toujours très lié au symbolisme. Pour viser haut dans la célébration de l’événement, le metteur en scène Arthur NIEMBA a retenu la figure emblématique de Kimpa Vita , comme symbole autour duquel il monte un ballet. Loin de toutes considérations politiques, il s’agit tout simplement d’une expression artistique dans laquelle les différentes musiques folkloriques de la province seront intégrées. Tous les grands personnages Kongo vont apparaître, en l’occurrence Simon Kimbangu, Mpadi, Kasa Vubu, Wonda,…
Toutes les tendances religieuses vont se retrouver: les chrétiens (catholiques et protestants), les Kimbanguistes, BDK, ECUSE avec leurs musiques respectives,… Toutes les partitions des peuplades Kongo : Bas – Congo, Congo Brazza, Angola se verront impliqués.
L’accent sera mis sur les héros de notre temps : DOKOLO, DISENGOMOKA, Raoul KIDUMU, Papa NSUMBU, Mfumu KINZONZI, Abbé NDANDOU, Abbé BANKANZI, Nkaka MAYISOKOLUA….
Ce ballet va rejoindre dans les annales du pays les grandes épopées Liyanja ( Province de Equateur), Bobongo (District de Maïndombe, Province du Bandundu), Kasala dans les deux provinces du Kasaï.
V. LA PUBLICATION SUR MBANZA-NGUNGU, « VATA DIA KANGAMENA NGUNZA ». LA PUBLICATION SUR MBANZA-NGUNGU, « VATA DIA KANGAMENA NGUNZA ».
1. Comité de rédaction : Raymond KIZEKA, LUSALA, Père…
2. Chapitres : mise en exergue des noms liés à chaque chapitre
2.1. Enseignement primaire et secondaire : Abbé Bankazi, Papa NSUMBU,
2.2. Enseignement artisanale : Garage des missions, Yukula,…
2.3. Enseignement supérieur et universitaire : Frère SUZA, Prof Luntandila
3. Sport :
3.1. Les équipes
3.2. Les disciplines
3.3. Les dirigeants sportifs
3.4. Les grands sportifs
4. Vie économique :
4.1. ONATRA
4.2. Les PME
5. Mouvement associatifs et ONGD
6. Les projets de développement
7. les missionnaires et religieux
8. L’armée : les structures et les personnages
9. Les hommes d’état
10. La notabilité de la ville
11. les manageurs et opérateurs politiques (chefs de la cité, du territoire, district)
12. le secteur bancaire
13. l’hôtellerie,
14. la santé
15. la diaspora
VI. LE DICTIONNAIRE KIKONGO – FRANÇAIS
VII. LE PLAN D’AMENAGEMENT DE LA MAISON DU CENTENAIRE
(Ex ancien Combattant, le rond point devant cette salle sera érigé la stèle avec la plaque commémorative), une partie des funérailles de RIGOUDI se sont déroulé dans cette salle.
VIII. PREPARATION DU COLLOQUE DU CENTENAIRE
IX. LES JOURNES OUVERTES DES ENTREPRISES INSTALLEES DANS LA REGION
X. L’ACQUISITION D’UNE CHAINE DE TELEVISION LOCALE
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ngungu.populus.ch – le 15.12.2004
NECROLOGIE : PAPA MBENDE MAPAKA N'EST PLUS
De Mbanza Ngungu, nous venons d'apprendre qu'un digne fils de notre terroir, en l'occurence Papa MBENDE Mapaka est arrivé au bout de son parcours. Il est décédé le lundi 13 décembre 2004.
Selon les informations en notre possession, le programme de ses funérailles a prévu que son enterrement aura lieu ce vendredi au village MVAKALA à Bangu.
Nous ne pouvons que nous associer au malheur qui frappe cette famille en présentant nos condoléances les plus sincères aux enfants de notre regrétté Papa.
Que son âme repose en paix et que la terre de nos ancêtres lui soit douce et légère.
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ngungu.populus.ch – le 08.12.2004
OUF ! Le Gouverneur de la province du Bas Congo confirme la construction de la morgue de Mbanza Ngungu
Nous avons le privilège de vous informer que le Gouverneur de la province du Bas Congo vient de confirmer dans un message diffusé sur les antennes de la RTNC Matadi, la prise en charge par la province des travaux de construction de la morgue de Mbanza Ngungu. Cette décision fait suite à la demande qui lui a été faite par les notables de Mbanza Ngungu, lors de son dernier passage au Chef Lieu du District des Cataractes. Avec cette décision, Monsieur Tsasa di Ntumba vient de réparer ce que la population de Mbanza Ngungu considérait comme une injustice, avec le traitement discriminatoire qui fut opéré par l’administration provinciale, dans le choix des seules villes de Boma et Kisantu où des travaux analogues ont déjà été amorcés.
Devant cette indifférence, l’asbl LA NGUNGUOISE avait initié un projet de construction d’une morgue moderne au sein de l’hôpital de Nsona Nkulu. Le coût de ce projet tel que défini par cette association était évalué à 32.964 USD. Passant de la parole à l’acte les membres du comité Directeur de ce groupe ont procédé en date du 30 juillet 2004, à la pose de la première pierre de cet édifice, ainsi que l’amoncellement des premiers matériaux.
Pour réunir ce montant, une action intitulée : «Kinzu kia mante, nua ye nua » fut lancée et devait être clôturée par un dîner de Found Raising qui était normalement prévu pour ce 19 décembre 2004 dans un grand restaurant de Kinshasa. Plusieurs personnalités du monde politique et des affaires originaires des Cataractes avaient promis d’y participer, notamment, Tuluka, Kisombe, Nzolantima, Kiakwama, Kinduelo, Lungwana, Luntadila MK, Mabeluanga, Siluvangi, Kinzonzi, Diatezulua, Kembukusua, Ngina ye Vuvu, Déo Nkusu, Fuka Unzola, Mado Mienze, etc… En même temps les ngunguois de la diaspora qui suivent de très près ce dossier, se sont mobilisés pour la réussite de cette opération.
La décision du Gouverneur Tsasa est tombée au bon moment, car le Dr Léon KINTAUDI, Président de LA NGUNGUOISE, que nous avons joint hier au téléphone nous a confirmé cette heureuse nouvelle et par conséquent, son association, se trouve dans l’obligation d’annuler toutes les dispositions prises pour la collecte des fonds prévu pour ce mois de décembre 2004. Il vient d’écrire à Son Excellence Monsieur le Gouverneur de la province pour le remercier pour cet acte combien louable qu’il vient de poser. Saisissant la balle au bond, il a tenu à remercier tous les ngunguois pour l’intérêt qu’ils ont accordé à ce projet ainsi qu’à leur volonté de contribuer à cette construction. Il ose croire que le même engouement sera présent lors des projets à venir touchant notre chère province.
Avec la mise au rancart de ce projet de la morgue, nous pouvons pousser un ouf de soulagement. Au moment où nous avions lancé notre Site, nous avions focalisé notre centre d’intérêt sur deux projets de valeurs presque égales. La Morgue et le Centenaire. Il était difficile pour nous de privilégier l’un au détriment de l’autre. Au moment où nous couchons ces lignes, une épine vient de nous être retiré du pied.
Le projet de la morgue étant renvoyé aux calendres grecques, nous pouvons maintenant nous mobiliser et canaliser tous nos efforts vers les Festivités marquant le Centenaire de la Cité de Mbanza –Ngungu. Que toute initiative pouvant y contribuer soit encouragée et appuyée.
Quant à ceux qui le veulent, ils peuvent envoyer leurs messages de remerciements au Gouverneur. Nous allons les publier dans nos colonnes et le moment venu, nous allons les expédier à Matadi.
ngungu.populus.ch – le 07.12.2004
Selon le Vice-ministre des mines: Le processus du développement de l’industrie minière doit compter avec le Bas-Congo
La fin de la Gécamines ne signifie pas la fin de la Rdc sur le plan minier. Une autre entreprise du genre peut être montée au Bas-Congo. En effet, le Vice-ministre des mines, Louis Muderwa a livré à la 3ème conférence sur le Programme international de corrélation géologique (PICG 470) les raisons de cette espérance.
Plus petite province en superficie, soit 54.078 Km2 , le Bas-Congo est l’une de plus importante pour le développement futur de la Rdc. « Avec ses 45 km de littoral et ses deux ports maritimes, Matadi et Boma, le Bas-Congo est la seule ouverture vers l’Océan. Le Bas-Congo est aussi connu pour l’énorme potentiel hydroélectrique détenu par le site d’Inga, faisant de la Rdc la principale puissance mondiale en potentiel hydroélectrique. Désormais, la Rdc et l’Afrique centrale devront compter avec le Bas-Congo dans le processus de développement de son industrie minière » a dit le Vice-ministre des mines.
Mais ce qui a été longtemps oublié est le fait que cette province est aussi riche en minerais. Les premières études géologiques réalisées sur la province remonte aux années 1963. Mais bien avant cette année, les études géologiques avaient été menées par de nombreux géologues et ingénieurs des mines avec des intéressantes publications. Et ces connaissances ont permis, selon le Vice-ministre, certaines exploitations minières dont le gisement de cuivre, plomb et zinc de Bamba-Kilenda dans le territoire de Madimba exploité dans les années 50 par la société Bamoco, avec une exploitation cumulée de 2.600 tonnes de cuivre métal. Mais les estimations sérieuses attribuent plus de 200.000 tonnes de cuivre métal à ce site de Bamba-Kilenda. Les alluvions aurifères du territoire de Tshela dans le Bas-fleuve ont été explorés et exploités de manière artisanale par une nuée de petites entreprises de l’époque dont la Cominoc, la Minière de Télé, Bamoco, etc. Et le Vice-ministre a précisé que les gisements alluvionnaires et primaires demeurent encore vierges et n’ont encore fait jusqu’à ce jour l’objet d’une quelconque exploration.
Les derniers grands travaux géologiques remontent aux années 1963 dont l’actualisation, au moyen d’une carte géologique, avait été faite en 1972 par le Musée Royal de l’Afrique centrale de Tervuren.
Et le Service présidentiel des études (Spe) ont complété ces études entre 1970-1980, 1987 et 1989 pour découvrir le gisement de bauxite de Sumbi (1 milliard des réserves), les phosphates à Kanzi et à Fundunzobe, le sel et la potasse dans la région de Moanda, et la détermination des vastes champs de manganèse (250 km2), le fer et l’Or dans les éluvions et les gîtes primaires, le diamant et le calcaire ainsi que le gypse sont présents à Luozi au Bas-Congo, etc. La topographie du Bas-Congo a été, hier mardi, au centre de travaux en atelier à l’Alliance Belgo-Congolaise durant toute la journée.
Par DDM du Journal l'Avenir.
ngungu.populus.ch – le 01.12.2004
Catastrophe aérienne à Kinshasa
Un petit porteur d’Air tropiques s’abîme dans le fleuve
Bilan : 1 mort et 6 escapés
Un petit porteur, type Cesna 4 bimoteur, de la compagnie “Air Tropiques”, s’est abîmé mercredi 1er décembre 2004, après le décollage, dans le fleuve Congo. L’avion avait à bord 6 passagers et un seul membre de l’équipage ( le pilote).
C’est au large du fleuve Congo, au niveau du quartier général de la Force navale à Kingabwa, que le drame s’est produit à 10h50 minutes. Interrogé quelques heures après le crash, le commandant de la Force navale, le lieutenant-colonel Manga, a indiqué que le bilan provisoire était d’un mort, deux disparus et trois rescapés dont le pilote. Venant de l’aérodrome de Ndolo, l’aéronef était en partance pour Matadi, dans la province du Bas-Congo, a affirmé la même source.
Selon d’autres sources contactées par Le Potentiel, l’avion transportait 7 personnes dont le pilote. L’unique victime de cet accident serait le mari de Mme Pierrette Gene, ministre honoraire de la Culture et des Arts.
Expliquant les circonstances de l’accident, ces sources renseignent que juste après le décollage, le pilote a senti une baisse de régime du moteur droit. Dès cet instant, il a manœuvré, après avoir heurté un câble électrique de la Snel, pour éviter d’échouer sur le campus de l’Institut supérieur des techniques appliquées (Ista). Dans sa détresse, le Cesna a survolé ensuite le campement de la Force navale.
Tous les témoins oculaires de l’accident ont été unanimes pour reconnaître la perspicacité du pilote qui a fait preuve de beaucoup de maîtrise pour éviter une tragédie si l’avion s’était écrasé sur la terre ferme, en pleine cité. Néanmoins, c’est sur une pirogue occupée par un père et son fils, que l’avion a failli terminer sa course. Elle a seulement été percutée de plein fouet par le petit porteur qui a finalement plongé dans le fleuve, après avoir roulé sur la jacinthe d’eau si caractéristique du fleuve Congo.
Ci-après la liste des rescapés: Kihani David, pilote ; Buasa, habitant sur Kombe no.37, Yolo- Sud, Kalamu; Tshiyombo Mbala, avenue Roi Baudouin, no. 42, Gombe ; Pierrot Mumbulu, président de la coordination de l’As V. Club ; Malila Hubert, Bocages no.29, Ma campagne, Ngaliema ; Amisi Valère, avenue Makiese, no. 2, Cité Maman Mobutu, Mont-Ngafula. L’unique tué de l’accident s’appelle Motindo Gilbert, sa dépouille a été récupérée par les plongeurs.
Missely et Delphin Bateko
ngungu.populus.ch – le 24.11.2004
NOUVELLES SPORTIVES EN BREF
LE FC CILU DE LUKALA, vainqueur de la coupe du Congo.
Le football de Mbanza Ngungu en particulier et celle du Bas Congo en général sont aujourd’hui à l’honneur. Pour la première fois depuis l’accession de notre pays à son indépendance une équipe régulièrement affiliée à l’Entente de Football de Mbanza Ngungu, vient de monter sur la plus marche du podium d’une compétition à l’échelon national.
Le Football Club CILU de LUKALA, car c’est d’elle qu’il s’agit, le sempiternel champion du district des Cataractes et de la province du Bas Congo a été sacré Champion du Congo, édition 2004 au détriment de Saint Luc de Kananga.
Pour arriver à ce stade de la compétition ces deux équipes sont passées par une étape intermédiaire. Les organisateurs avaient, après tirage au sort, regroupé les six clubs qualifiés à la phase finale de cette compétition dans deux poules réparties de la manière suivante:
Poule A : Dragons de Kinshasa, Saint Luc de Kananga et Mbongo Sports de Mbuji Mayi
Poule B : CILU de Lukala, Malekesa et Makiso de Kisangani.
Initialement programmé pour le dimanche 21 novembre, cette rencontre a été reportée suite à forte pluie qui s’était abattue dans cette ville. La finale de la cette Coupe du Congo qui a opposé les champions du Kasaï Occidental au représentant de la province du Bas Congo s’est déroulé ce mardi, le 23 novembre 2004 au Stade SOKOL de Boma, en présence du Gouverneur TSASA DI NTUMBA. Soutenu pour la circonstance par un public très nombreux totalement acquis à la cause de ses ambassadeurs, les cimentiers de Lukala n’ont pas eu de peine pour venir à bout de la coriace formation de Kananga qu’ils ont battu sur le score étriqué de 1 but à 0.
Grâce à cette victoire, le FC CILU va représenter pour la deuxième fois consécutive la République démocratique du Congo en Coupe d’Afrique de la CAF, en compagnie du FC LUPOPO, qui a obtenu son ticket pour avoir occupé la troisième place au championnat de la LINAFOOT.
Nous ne pouvons qu’adresser nos vifs et sincères félicitations à son Excellence Monsieur le Gouverneur de la province du Bas Congo, Monsieur Tsasa di Ntumba pour son encadrement et sa contribution positive à toutes les équipes représentatives de notre province. C’est grâce toujours à sa volonté que l’organisation de la finale de cette coupe à Boma a été rendue possible. Par cet acte, il a accordé un avantage supplémentaire à notre équipe qui a joué devant un public acquis totalement à sa cause.
Coup de chapeau aussi aux dirigeants de l’entreprise CILU, plus particulièrement à Monsieur Forrest, son ADG, au comité sportif du FC CILU que dirige notre aîné KONGA BEBE. Nos pensées vont en ce moment à notre ami ANGILE qui doit savourer aujourd’hui les fruits de tant d’années de sacrifices et d’abnégation passée au service de cette formation dans laquelle il a été successivement joueur et encadreur.
Que tous les dirigeants de l’EFMBANGU, les équipes SUCRIERE, GWAGWA, BILANGA MATEBO, SONGA MBANDU, BANA DARING et VAVA de Mbanza Ngungu, se sentent honorés par cette victoire d’une équipe de leur entente de football. Sans leur présence, peut-être que le FC CILU n’existerait peut-être pas.
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Ngungu.populus.ch – le 22.11.2004
NOUVELLES SPORTIVES EN BREF
DCMP, sacré Champion de la LINAFOOT
Le championnat de la LINAFOOT, la plus prestigieuse des compétitions de football organisée en République démocratique du Congo a éteint ses lampions le dimanche 21 novembre 2004. Le Daring Club MOTEMA PEMBE de Kinshasa a été une fois de plus sacré champion.
Cette consécration des poulains de Hilaire LUMBAIE et Ali Deb’s est considéré par ceux qui ont suivi cette compétition comme tout à fait logique dans la mesure où cette équipe a réalisé un sans faute au niveau de la phase finale disputé par les quatre meilleurs équipes du pays de tous les temps que sont : le TP Mazembe et le FC Lupopo de L’shi, V-Club et DCMP de Kinshasa.
La dernière journée qui s’est jouée simultanément à Kinshasa et à L’shi était une simple formalité pour les vert blanc qui avant cette rencontre disposaient de 13 points au classement général, tandis que leur adversaire du jour qui était ainsi leur concurrent le plus sérieux n’avait que 10 points. Un nul suffisait pour que leur rêve devienne une réalité. Ceux qui connaissent l’histoire de notre football savent également qu’une tradition existe entre ses deux équipes. Même au plus fort de sa gloire, le Tout Puissant Mazembe éprouve toujours des difficultés pour battre le FC Daring. Une victoire des corbeaux face aux matiti mabe relève de l’exploit. Une fois de plus cette tradition a été respectée. Au cours d’une rencontre âprement disputé les deux équipes se sont séparées sur un nul de 1 but partout. Dcmp a été le premier à ouvrir le score à la 44ème minute de la première mi-temps par son feu-follet Mbala Mbuta alias Biscotte. Mazembe a réussi l’égalisation au cours de la seconde période. Mais ce but s’est avéré insuffisant pour bousculer l’ordre qui était déjà établi. Au décompte final, les verts blancs ont totalisé 14 points, tandis que leur poursuivant immédiat s’est contenté de 11 points. Les deux équipes ont été qualifiées pour participer l’année prochainne à la Champion’s League.
Dans l’autre match qui opposait les Dauphins Noirs aux Lumpas, l’enjeu était de taille, car le malheureux perdant du jour se verrait automatiquement disqualifier aux compétitions africaines de la saison prochaine. Malgré le sursaut d’orgueil qui a animé les protégés de Pierrot MOMBULU avant leur départ dans la capitale du cuivre, l’AS V-Club qui est miné par une crise dangereuse qui secoue les organes dirigeants de cette équipe n’a pas réussi à réaliser l’exploit. Le FC LUPOPO a gagné sur le score étriqué de 1 but à 0. Grâce cette victoire, l’équipe entraînée par le malien Magassouba totalise cinq points et occupe la troisième place au classement général. Comme le prévoit les règlements qui ont régi ce championnat cette année, il représentera le Congo en Coupe de la CAF. V-Club, la lanterne rouge avec deux points à son actif est le plus malheureux de tous, car l’année prochaine il se contentera des compétitions nationales.
L’autre équipe devant accompagner le FC Lupopo sera connue ce mardi, à l’issue de la finale de la Coupe du Congo qui opposera à Boma, le FC Cilu de Lukala, champion du Bas Congo à l’équipe de Saint Luc de Kananga qui représente le Kasaï Occidental.
VODACOM à la rescousse de la FECOFA
VODACOM, le sponsor officiel de la FECOFA continue à marquer des points et à apporter son soutien au football et aux équipes congolaises. Tenez! Outre la coupe mise en jeu que le DCMP de Kinshasa a remporté, l’heureux vainqueur de ce week-end s’est vu gratifié d’une prime de 20.000 USD par cette entreprise.
Cette intervention de VODACOM ne s’arrête pas au champion de la LINAFOOT, le prochain vainqueur de la Congo à Boma recevra aussi le même montant.
Bravo aux heureux bénéficiaires de cette cagnotte qui peuvent de manière conséquente payer des primes d’encouragements à leurs athlètes. Nous osons croire aussi que les billets verts américains vont cette fois-ci assurer le bonheur aux deux lauréats, car l’expérience nous apprend que dans un passé très récent, la cagnotte que l’AS V-Club a ramenée de l’Afrique du Sud est à la base des malheurs qui frappent cette équipe.
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Ngungu.populus.ch - le 26.10.04
Bientôt, Mbanza Ngungu disposera d’une morgue moderne
Face à l’incapacité et l’indifférence des pouvoirs publics dans la recherche des solutions aux multiples problèmes sociaux auxquels sont confrontées nos populations, les ngunguois ont décidé de se prendre en charge et ont lancé depuis le début de cette année, le projet d’implantation d’une morgue à Mbanza Ngungu.
Conformément à sa vocation, LA NGUNGUOISE, toujours à l’écoute de communautés du terroir, a identifié ce projet de haute portée sociale parmi ses objectifs à court terme. Sa réalisation contribuera à coup sûr, à soulager tant soi peu, les populations de cette contrée dans la résolution de l’épineux problème de la conservation des dépouilles mortelles.
Cette agglomération qui compte à ce jour près de 130.000 habitants auxquels il faut ajouter les populations des villages environnants est toujours confrontée à cet épineux problème de conservation des cadavres. Face à cette situation fort déplorable, les populations de cette partie du territoire national ont l’habitude d’enterrer leurs morts dans la précipitation.
A titre illustratif, l’Abbé Alphonse KAVENADIAMBUKO, Curé de la Paroisse Sainte Thérèse, lâchement assassiné sur la nationale n°1 dans la nuit du 27 août 2003, fut inhumé le lendemain, c'est-à-dire le 28août 2003, faute d’infrastructures adéquates pour conserver le corps.
Ce fut aussi le cas du Révérend Pasteur Mengi dont le corps a d’abord été acheminé dans une morgue à Kinshasa, localité située à 150 kilomètres de Mbanza Ngungu, en attendant l’organisation des funérailles. Cette disposition qui n’est pas à la portée de tout le monde a évidemment entraîné des frais supplémentaires aux organisateurs de ses funérailles.
La pose de la première pierre de cette morgue, qui aura une capacité de 40 mètres carrés, c'est-à-dire capable de recevoir 20 corps et qui sera installée à l’hôpital de Référence de Nsona –Nkulu, a eu lieu au mois de juin 2004. LA NGUNGUOISE souhaite terminer ces travaux au mois de juin 2005. C’est le cadeau que cette association voudrait offrir aux populations de Mbanza-Ngungu à la veille de la clôture des festivités marquant le centenaire de cette cité, qui auront lieu au début du mois d’août 2005.
Le coût des travaux est estimé à 32.964 USD, dont 18.654 USD pour la construction du bâtiment et 14.310 USD pour le système à froid comprenant le montage et l’installation de la chambre froide. Les travaux de maçonnerie sont exécutés par la société GEC sprl, tandis que le système de froid sera installé par la société « Froid Management ».
Le Dr Léon KINTAUDI, Président du Comité Directeur de LA NGUNGUOISE asbl invite les personnes physiques et morales de bonne volonté, à s’associer à elle, pour la matérialisation de cette noble tâche.
Pour vos contributions de toutes sortes, il vous demande d’entrer en contact avec les personnes dont les noms et prénoms suivent :
1)Dr NGOMA MIEZI KINTAUDI
C/° SANRU III Kinshasa / Gombe
Tél : 0818130508 – 98271814
2)Hubert BETAMONA
C/° SANRU III Kinshasa / Gombe
Tél : 0818130509 – 9952698
3)Edouard NTONA LULENDO
Permanence de LA NGUNGUOISE
Avenue KASA-VUBU n°72
Commune de Kasa vVubu
Tél : 0815113335
E-mail : langunguoise@yahoo.com
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ngungu.populus.ch - le 24.10.04
SPECIAL : CENTENAIRE DE LA CITE de MBANZA NGUNGU
Les manifestations marquant le Centenaire de la cité de Mbanza Ngungu, Chef Lieu du Territoire portant le même nom et du District des Cataractes vont bientôt démarrer officiellement.
Selon les bribes d’informations en notre possession, la clôture officielle interviendra le 01 août 2005.
Un comité d’Organisation, composée exclusivement des autorités et notabilités locales a été mis en place et se présente comme suit :
Président : Mbedi ya kitembedi, Commissaire de District
1ER Vice Président : Tsasa, Administrateur du Territoire, Chargé de l'Administration et Sécurité
2ème Vice Président : Inspecteur N'lemvo Lumia (FEC), Chargé des Finances
3ème Vice Président : Daniel Kiansumba (Notabilités), Chargé des Activités Socio Culturelles
4ème Vice Président : Mhass Massengo (Jeunesse), Chargé des Relations Publiques
Secrétaire : Robert Lukebana
Secrétaire Adjoint : Ass. Mampasi (Eglise Kimbanguiste)
Trésorière : Maman Julienne Muaka
Trésorière Adjoint : Viviane N'toto (Radio N'temo)
Conseillers : les présidents de toutes les commissions
- Logistique : Dikiefu, Commissaire de District Adjoint
- Securité : Administrateur du Territoire
- Juridique : Magistrat Kitambala
- Rédaction Livre Centenaire : Nsumbu Badika Lukau
- Finances : Madame Kongo (Chef d'Agence SONAS)
- Scientifique : DG ISP
- Assainissement et Salubrité
: Albert Malala
- Sports et Loisirs : Makiona
- Culture : Placide Lukau
- Protocole : CT Lusala
- Restauration : Julienne Kiakuvua
- Controle : Thomas Nsiku
- Logement : Mvuezolo
- Presse : JL Sita
Une opération d’assainissement et de salubrité dénommée «NGUNGU PROPRE» va bientôt démarrer avec la plantation des fleurs le long des grandes artères et des places publiques les plus importantes.
La réhabilitation de la Salle de l’Offitra, du Stade Kitemoko, du Cimètière de Nsona Nkulu et de l’hôtel cosmopolite sont également à l’ordre du jour,
Tous les Ngunguois sont invités à se mobiliser pour la réussite de cette célébration.
